Conçu par l’équipe du professeur Xiaobo Tan de l’Université d’État du Michigan, Grace nage ou glisse sur de longues distances tout en collectant des données sur la qualité des eaux.
Déjà testé sur partie de la rivière Kalamazoo à la recherche de trace de pétrole et d’huile, Grace s’avère moins maniable que son prédécesseur mais bénéficie d’une meilleure autonomie. Notons enfin que celle-ci peut également changer de trajectoire en expulsant l’eau de son corps, mais aussi à l’aide de sa nageoire caudale et de sa batterie qui se déplacent en parfaite synchronisation.
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Pas mal du tout ! C’est bien pour les piscines et les lacs mais un kit de test de PH coûte certainement moins cher, en eau vive je lui donne pas 10 minutes pour se cracher contre quelque chose (c’est peut être pour ça que c’est la seconde version :p).
Mais faut reconnaître qu’au niveau des capteurs c’est dément !
En drone marin pour faire des mesures de qualité de l’eau il y a aussi le très beau projet Proteï qui a l’avantage d’être totalement open-source et de pouvoir être également utilisé pour nettoyer les océans en cas de marée noire.
https://sites.google.com/a/opensailing.net/protei/
Ça pourrait servir a mesurer les masses d’eau radioactives dans les fleuves, mers et océans.
En tout cas pour ce qui est du bruit c’est pas l’Octobre Rouge !
Sinon va falloir nettoyer la piscine les enfants 🙂