Conduite sur trois jours, l’étude a réuni 210 participants dont la moitié a été amenée à jouer à des jeux violents (Condemned 2, Modern Warfare et The Club) tandis que l’autre jouait à des jeux neutres (S3 Superbike, Dirt 2 et Pure).
Les participants devaient ensuite lire le début d’une histoire et proposer ensuite vingt façons différentes dont elle pourrait se poursuivre, les sujets soumis aux jeux violents proposant alors des possibilités bien plus agressives que les autres.
Un autre test demandait ensuite aux participants de jouer en compétition avec une autre personne située dans une pièce différente. Il leur suffisait de réaliser un QTE avant leur adversaire pour gagner, ce qui leur permettait d’envoyer un son désagréable de la longueur de leur choix au perdant.
Là encore, les sujets qui venaient de jouer au jeux violents se sont montrés bien plus enclins à pourrir leur adversaire que les autres…
D’autres test ont également été conduits, mais il ressort de l’étude que les sujets ayant joué aux jeux vidéo violent durant trois jours de suite ont montré une propension plus forte à la violence chaque jour, tandis que les sujets qui ont joué aux jeux de sport n’ont pas connu de changement.
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