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Impressions – Army of Two : The Devil’s Cartel

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La série Army of Two revient, forte de deux épisodes qui lui ont fait gagner sa place dans le cœur de joueurs en manque d’action coopérative….

La série Army of Two revient, forte de deux épisodes qui lui ont fait gagner sa place dans le cœur de joueurs en manque d’action coopérative. Développé par Visceral Games (Dead Space), cet épisode intitulé The Devil’s Cartel tente de peaufiner une formule déjà bien connue à grands coups d’explosions. Headshot ou poudre aux yeux ?

Le masque, accessoire indispensable du barbouze.

On se sent en terrain familier en s’emparant de la manette pour un nouvelle mission de ce Devil’s Cartel. Car si Rio et Salem ont laissé la place à de nouveaux protagonistes, le feeling n’a pas changé. Vous allez toujours défourailler à tout va et massacrer les hordes de trafiquants et hommes de main qui se terrent favelas de Rio, prêts à vous tomber dessus. Et bien sûr, sans chercher un seul instant à comprendre les raison de ce carnage. Après tout, même les développeurs ne se sont pas étendus outre mesure sur le scénario…

On retrouve en revanche les bases très agréables de la série. Entre la coopération classique (ressusciter un partenaire, enfoncer une porte à deux) et les mouvements plus originaux (traîner son partenaire blessé à couvert) que les habitués reconnaîtront, avancer à deux en déchargeant ses cartouches sur les ennemis se montre aussi jouissif que bas du front.

Le moteur Frosbite se montre d’une efficacité redoutable

Il faut dire que le moteur Frosbite 2 fait des merveilles. Tous les abris potentiels derrière lesquels on se met à couvert d’un simple pression d’un bouton, des sacs de sable aux piliers de béton, peuvent voler en éclat à chaque impact. Et lorsqu’on active le mode Overkill à la suite d’une série de frags, la puissance de feu des deux compères a vite fait de réduire l’environnement en miettes.

L’action non-stop se couple également à un côté over the top qui transparaît aussi bien dans les répliques des personnages que dans la mise en scène déjantée : l’action ralentit quand on enfonce une porte pour mieux nous permettre d’exploser au fusil à pompe les ennemis qui se trouvent derrière à coup de démembrements et autres giclées d’hémoglobine.
L’impression de jouer à une version vidéoludique d’Expendables était présente tout au long de la session, et ce n’est pas l’hélicoptère crashé sur le toit d’une église à la fin du passage qui vous dira le contraire.

Pas de bras, pas de chocolat !


Army of Two : The Devil’s Cartel
se révèle donc une bonne surprise. Le titre, bourrin au possible, ne se prend pas au sérieux une seule seconde et fournit de l’action à revendre. Si Visceral Games parvient à maintenir le niveau pour nous offrir une course haletante dopée aux hormones, on posera avec plaisir nos mains sur le jeu le 29 mars 2013.

La série Army of Two revient, forte de deux épisodes qui lui ont fait gagner sa place dans le cœur de joueurs en manque d’action coopérative. Développé par Visceral Games (Dead Space), cet épisode intitulé The Devil’s Cartel tente de peaufiner une formule déjà bien connue à grands coups d’explosions. Headshot ou poudre aux yeux ?

Le masque, accessoire indispensable du barbouze.

On se sent en terrain familier en s’emparant de la manette pour un nouvelle mission de ce Devil’s Cartel. Car si Rio et Salem ont laissé la place à de nouveaux protagonistes, le feeling n’a pas changé. Vous allez toujours défourailler à tout va et massacrer les hordes de trafiquants et hommes de main qui se terrent favelas de Rio, prêts à vous tomber dessus. Et bien sûr, sans chercher un seul instant à comprendre les raison de ce carnage. Après tout, même les développeurs ne se sont pas étendus outre mesure sur le scénario…

On retrouve en revanche les bases très agréables de la série. Entre la coopération classique (ressusciter un partenaire, enfoncer une porte à deux) et les mouvements plus originaux (traîner son partenaire blessé à couvert) que les habitués reconnaîtront, avancer à deux en déchargeant ses cartouches sur les ennemis se montre aussi jouissif que bas du front.

Le moteur Frosbite se montre d’une efficacité redoutable

Il faut dire que le moteur Frosbite 2 fait des merveilles. Tous les abris potentiels derrière lesquels on se met à couvert d’un simple pression d’un bouton, des sacs de sable aux piliers de béton, peuvent voler en éclat à chaque impact. Et lorsqu’on active le mode Overkill à la suite d’une série de frags, la puissance de feu des deux compères a vite fait de réduire l’environnement en miettes.

L’action non-stop se couple également à un côté over the top qui transparaît aussi bien dans les répliques des personnages que dans la mise en scène déjantée : l’action ralentit quand on enfonce une porte pour mieux nous permettre d’exploser au fusil à pompe les ennemis qui se trouvent derrière à coup de démembrements et autres giclées d’hémoglobine.
L’impression de jouer à une version vidéoludique d’Expendables était présente tout au long de la session, et ce n’est pas l’hélicoptère crashé sur le toit d’une église à la fin du passage qui vous dira le contraire.

Pas de bras, pas de chocolat !


Army of Two : The Devil’s Cartel
se révèle donc une bonne surprise. Le titre, bourrin au possible, ne se prend pas au sérieux une seule seconde et fournit de l’action à revendre. Si Visceral Games parvient à maintenir le niveau pour nous offrir une course haletante dopée aux hormones, on posera avec plaisir nos mains sur le jeu le 29 mars 2013.

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