Traiter de Dead or Alive 5 et omettre son approche intentionnellement racoleuse serait comme parler de fast-food sans aborder les crampes digestives. Alors par amour du défi (et du transit intestinal), nous allons tenter le coup : les lignes qui suivent ne traiteront pas de sexe, pas de décolletés, et encore moins de “rebondissements”…
Depuis ses débuts en 1996, la série martiale de Tecmo se distingue de ses deux concurrents principaux (Virtua Fighter et Tekken) par un flot d’attaques rapides et fluides, des décors élaborés et interactifs… et des jeunes filles court-vêtues aux poitrines généreuses et agitées ! Oh ça va ! Comment voulez-vous éviter le sujet quand ses développeurs se vantent d’un moteur physique consacré à calculer l’excessif mais néanmoins hypnotisant ballotements des atouts féminins ?
Bien, reprenons-nous. Ce cinquième épisode ne déroge pas à la règle : plus que soignée, la plastique y est léchée. Les filles sont jolies, c’est dit, mais les mâles ne sont pas en reste, et même les environnements mettent leurs arguments en avant. Il n’est pas rare lors d’un combat de visiter plusieurs sections d’une même aire de jeu, via une chute vertigineuse ou un mur violemment traversé. Spectacle garanti donc, d’autant que les décors sont parsemés de “zones dangereuses” sur lesquelles envoyer voler un adversaire pour lui faire mal et déclencher au passage une courte scène de destruction massive.
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