A l’instar des Lollipop Chainsaw, Tomb Raider et Bayonetta, Assassin’s Creed 3 Liberation surfe sur cette vague de jeux starisant une héroïne qui n’a rien, mais alors rien à envier à ses homologues du sexe opposé.
Mais qui est donc cette mystérieuse assassine ? Aveline de Grandpré, c’est son nom, est un Assassin – Assassine serait-on tenté de dire ! – évoluant dans la Nouvelle-Orléans des années 1760, colonie française désormais contrôlée par les Espagnols grâce à un tout petit coup de pouce des Templiers. Son but, vous l’aurez compris, consiste évidemment à débarrasser sa patrie de l’ennemi héréditaire. Du classique de chez classique pour un Assassin’s Creed, en somme ?
A priori oui. Mais réduire Liberation à une simple déclinaison portable de la légende des Assassins est un raccourci qu’on ne se risquera pas à emprunter. Car, Vita en main, l’expérience s’annonce bien plus concluante que les malheureux segments parus sur DS et PSP. Déjà, on note que le jeu semble avoir adapté avec succès le moteur graphique des Assassin’s des consoles de salon, pour un rendu graphique globalement satisfaisant : les nuances de couleur flattent la rétine, la plèbe foisonne dans les rues… Tout juste note-t-on quelques ralentissements dans les animations des personnages non jouables. Bref, ça tient la route sur le plan technique, et ça, c’est déjà une révolution en soi pour un Assassin’s sur support nomade !
Question dextérité, Aveline se débrouille plutôt pas mal aussi : l’écran tactile assure une ergonomie de chaque instant pour sélectionner son équipement en deux-deux, et la prise en main se révèle si intuitive qu’une poignée de minutes suffit pour incarner la belle comme si c’était nous qui l’avions faite. Épéiste hors-pair, Aveline sait aussi se la jouer cosplay, en revêtant différents déguisements à chaque fois que la situation l’exige : mode Esclave pour se fondre dans la populace, mode Assassin pour passer à l’action, et mode Courtisane avec moult frous-frous histoire de se donner des airs de belle gosse. Marque de sexisme de la part des développeurs d’Ubisoft Sofia ou manière originale d’enrichir le gameplay ? A vous de juger…
Une chose est sûre : Liberation cherche à concourir dans la même catégorie que ses glorieux ainés. Sans même s’appesantir sur le recours à la double interface tactile de la Vita pour certaines actions contextuelles, il y a des signes qui en disent très long sur son ambition. Comme cette apparition-éclair de Connor, héros d’Assassin’s Creed 3, au détour d’une mission spéciale qui devrait s’enrichir de ce duo de choc parfaitement équilibré. Autant dire qu’on a hâte de tâter d’un peu plus près de cet épisode, paré à perpétuer le mythe des Assassins par-delà les PC et consoles de salon.
Mais qui est donc cette mystérieuse assassine ? Aveline de Grandpré, c’est son nom, est un Assassin – Assassine serait-on tenté de dire ! – évoluant dans la Nouvelle-Orléans des années 1760, colonie française désormais contrôlée par les Espagnols grâce à un tout petit coup de pouce des Templiers. Son but, vous l’aurez compris, consiste évidemment à débarrasser sa patrie de l’ennemi héréditaire. Du classique de chez classique pour un Assassin’s Creed, en somme ?
A priori oui. Mais réduire Liberation à une simple déclinaison portable de la légende des Assassins est un raccourci qu’on ne se risquera pas à emprunter. Car, Vita en main, l’expérience s’annonce bien plus concluante que les malheureux segments parus sur DS et PSP. Déjà, on note que le jeu semble avoir adapté avec succès le moteur graphique des Assassin’s des consoles de salon, pour un rendu graphique globalement satisfaisant : les nuances de couleur flattent la rétine, la plèbe foisonne dans les rues… Tout juste note-t-on quelques ralentissements dans les animations des personnages non jouables. Bref, ça tient la route sur le plan technique, et ça, c’est déjà une révolution en soi pour un Assassin’s sur support nomade !
Question dextérité, Aveline se débrouille plutôt pas mal aussi : l’écran tactile assure une ergonomie de chaque instant pour sélectionner son équipement en deux-deux, et la prise en main se révèle si intuitive qu’une poignée de minutes suffit pour incarner la belle comme si c’était nous qui l’avions faite. Épéiste hors-pair, Aveline sait aussi se la jouer cosplay, en revêtant différents déguisements à chaque fois que la situation l’exige : mode Esclave pour se fondre dans la populace, mode Assassin pour passer à l’action, et mode Courtisane avec moult frous-frous histoire de se donner des airs de belle gosse. Marque de sexisme de la part des développeurs d’Ubisoft Sofia ou manière originale d’enrichir le gameplay ? A vous de juger…
Une chose est sûre : Liberation cherche à concourir dans la même catégorie que ses glorieux ainés. Sans même s’appesantir sur le recours à la double interface tactile de la Vita pour certaines actions contextuelles, il y a des signes qui en disent très long sur son ambition. Comme cette apparition-éclair de Connor, héros d’Assassin’s Creed 3, au détour d’une mission spéciale qui devrait s’enrichir de ce duo de choc parfaitement équilibré. Autant dire qu’on a hâte de tâter d’un peu plus près de cet épisode, paré à perpétuer le mythe des Assassins par-delà les PC et consoles de salon.
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