Les tests ont été menés sur quarante volontaires. La moitié d’entre eux a joué dix minutes à un jeu violent (un FPS), tandis que le reste s’essayait à un jeu qualifié de non-violent, sans plus de précisions. A la suite de ça, les chercheurs ont plongé les mains des volontaires dans de l’eau glacée. Il est apparu que les sujets qui avaient joué au FPS auparavant gardaient leurs mains immergées pour une durée 65% plus longue que les autres. Le Docteur Stephens, qui dirige le projet, a ainsi expliqué que c’est le sentiment d’agression permettrait de mieux supporter la douleur.
Peut-on pour autant affirmer catégoriquement que jouer à des jeux stressants ou violents influe directement sur la douleur ? C’est peut-être un peu tiré par les cheveux. Nos confrères de Kotaku précisent, à tout hasard, que la même équipe de chercheurs a mené une expérience similaire en remplaçant la pratique du jeu vidéo par le fait de se faire injurier.
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