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Metal Gear, la tête d’affiche du jeu vidéo

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Après l’annonce d’un film hollywoodien, et un Metal Gear lié au réseau social japonais GREE dévoilé, la stratégie de la licence prend un tournant bien connu…

Après l’annonce d’un film hollywoodien, et un Metal Gear lié au réseau social japonais GREE dévoilé, la stratégie de la licence prend un tournant bien connu du grand public. L’avenir de Metal Gear ressemble à celui d’une star qui prépare son âge d’or.

25 années ont passé, et Metal Gear est devenu une grande référence dans le domaine du jeu vidéo. Mais un nom aussi influent doit perpétuellement se renouveler pour éviter que son image de marque ne s’essouffle. Ainsi, pendant la petite sauterie organisée à l’occasion de son quart de siècle, Hideo Kojima a dévoilé ses projets pour l’avenir de la licence.

Tel un manager qui planifie la carrière de sa star, le père spirituel de Metal Gear annonce un tout nouveau titre baptisé Metal Gear : Ground Zeros. En mettant l’accent sur un monde ouvert, Kojima montre que sa célébrité n’a pas pris une seule ride, et qu’elle sait s’adapter à son époque. Ainsi, sa licence s’alignera sur les tendances des années 2010, et se lancera sur les réseaux sociaux. Intitulé Metal Gear Solid : Social Ops, le titre sera tout aussi connecté qu’une Lindsay Lohan totalement accro à son compte Twitter. Le jeu sera ainsi directement lié à GREE, ce Facebook japonais dont nous ne connaîtrons probablement jamais les joies. Mais l’annonce est peu surprenante : Kojima avait déjà évoqué l’importance cruciale pour le jeu vidéo de surfer sur la vague des réseaux sociaux.

Après avoir démontré la capacité d’adaptation de la licence, Maître Kojima lève le voile sur une étape que toute star se doit de franchir : celle du passage en salles obscures. Mais pour assurer à sa vedette un franc succès, le directeur de Kojima Productions a choisit une équipe de première fraîcheur. Ainsi, Metal Gear fera l’objet d’un film hollywoodien produit par Avi Arad qui s’était chargé de grands blockbusters comme Iron Man, Blade, Spider-Man (2002), et plus récemment The Amazing Spider-Man.

Ainsi, il ne nous reste plus qu’à croiser les doigts pour que la célébrité ne soit pas aveuglée par le strass et les paillettes (et encore moins l’argent), et préserver sa qualité.

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