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Grooveshark : le retour du trublion sur Google Play

Un temps sur la liste des “services à abattre” confectionnée par les majors de l’industrie musicale, Grooveshark fait son retour sur le Google Play. De retour…

Un temps sur la liste des “services à abattre” confectionnée par les majors de l’industrie musicale, Grooveshark fait son retour sur le Google Play.

De retour donc avec avoir été exclu par Google à la suite de nombreuses plaintes de l’industrie du disque. En effet, Grooveshark permettait à l’époque d’écouter en streaming gratuitement et sans publicités quelques millions de titres… Avec une option de téléchargement à la volée.

Une offre plus qu’alléchante qui n’a pas manquée de faire grincer des dents EMI à qui Grooveshark ne reversait aucun royalties.

Plus tard rejoint par Universal Music, EMI avait contraint Google à supprimer l’élément perturbateur de ses serveurs en attendant que la justice décide du sort du service de streaming.

Aujourd’hui, les relations semblent apaisées entre les différents acteurs : Grooveshark a finalement payé sa dette à EMI, des projets de rachat sont même à l’ordre du jour pour le service.

En ce qui concerne la partie Google Play, Grooveshark explique qu’il n’a jamais été dans l’intention du service de proposer le téléchargement gratuit et illimité des morceaux écoutés.

Il blâme des développeurs peu scrupuleux qui auraient proposés sous l’appellation “Grooveshark” des applications capables de télécharger les titres musicaux sans l’autorisation du site de streaming.

Après avoir fait le ménage parmi ces applications frauduleuses, Google a ré-autorisé le service à figurer sur son marché d’application.

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9 commentaires
  1. Grand classique d’une façon de proccéder pour une nouvelle plateforme de contenu en ligne.
    Tu proposes un service pas vraiment légal mais assez intéressant pour attirer les utilisateurs et le contenu, une fois que tu es devenu assez gros tu tombes dans le collimateur des majors mais vue que tu as suffisamment de poids avec ta bases d’utilisateur tu es en mesures de négocier des droits d’exploitations avantageux pour rester dans le business.

  2. Rien à voir avec le sujet mais c’est quoi ce fond horrible sur le site en page d’accueil, ce rouge flingue les yeux

  3. Kokusho : et ensuite, lorsque le service est légale les majors commence à le brider par région, le contenu diminue, la facilité d’écoute en version gratuite est réduite et finalement le service est inintéressant.

    Puis une nouvelle plateforme “pas vraiment légal” émerge etc… etc…

  4. Nighty bah tu me diras ils sont tous comme ça. Même avec un abonnement premium le catalogue réduit à vue d’oeil. Perso j’ai arrêté mon abonnement Spotify pour ça. Je paie mais j’ai plus accès au musique que j’écoute assez régulièrement. Aucun intérêt

  5. personnellement, je préfère aller sur Jamendo ! car plutôt écouter des artistes liés au major, je préfère découvrir des inconnus qui ont du talent, et de plus on peux télécharger gratuitement et légalement !

  6. C’est le même genre de service que Deezer et Spotify en gratuit sur android on accès uniquement qu’à des “radios” !!!! rien de bien folichon…

Les commentaires sont fermés.

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