Ubisoft nous a (malheureusement) habitué à sortir ses titres sur PC quelques mois après leur apparition sur consoles de salon. La raison facile derrière laquelle s’est cachée Ubisoft est le piratage, et l’excuse de l’apparition de DRM sur le jeu. Souvent décriée par les joueurs, cette méthode de l’éditeur de français sera un peu moins vrai pour Assassin’s Creed 3 donc. Il y aura moins d’un mois entre les versions consoles et l’itération sur PC. Une avancée significative certes, mais on regrette toujours d’avoir un tel différentiel de temps si important pour des versions identiques.
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