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Fabriquer de véritables pièces d’armes à feu avec une imprimante 3D

Il n’est pas rare que nous parlions d’imprimante 3D dans nos colonnes. La plupart du temps, celles-ci sont destinées à des fins plutôt plaisantes comme la…

Il n’est pas rare que nous parlions d’imprimante 3D dans nos colonnes. La plupart du temps, celles-ci sont destinées à des fins plutôt plaisantes comme la création artistique ou tout simplement à la réalisation d’appétissantes sculptures en chocolat.

Mais croyons-le ou non, il semblerait qu’un membre du forum AR15 surnommé Have Blue leur ait trouvé une tout autre utilité. En effet, celui-ci aurait quant à lui réussi à fabriquer de véritables pièces d’armes à feu au moyen d’une imprimante 3D Stratasys pour ensuite monter l’une de ses pièces artisanale sur une véritable arme à feu et effectuait plusieurs tirs d’essai (environ 200) avec succès.

Par la suite, ce monsieur aurait également tenté d’assembler un fusil d’assaut complet mais aurait (fort heureusement diront certains) rencontré quelques problèmes lors de l’assemblage.

Sachant que des modèles 3D d’arme à feu circulent sur la toile, il se pourrait bien que la détention de certains types d’imprimantes 3D soient un jour soumises à quelques règlementations.

– tu fais quoi là dans ton garage ?
– ah, je monte un Gundam…



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29 commentaires
  1. je prédis une hausse d’influence aux urgences avec tout les petits malins qui ont voulu essayer une réplique de Glock ou de Scar et qui leur a légèrement pété dans les mains.

    Il y a déja des armes faites a 90% de matière synthétique. Mais primo elles sont moulés d’un bloc et donc c’est bien plus solide que de la construction par couche (utilisé par les imprimantes 3d) et secondo ce n’est pas n’importe quelle matière: nylon balistique & Co.

    Bien sur je ne tiens pas compte de tout les clowns qui vont mettre des plans foireux sur le net (volontairement ou involontairement).

  2. Deja si on fait un truc a air comprimé, on peut facilement aller faire un carnage dans une salle de cinéma pendant la projection de Batman 😀

  3. …et d’ailleurs cela ne résout pas tout car la partie la plus complexe c’est l’âme de l’arme: mécanisme & canon. Pas ce qu’il y a autour. Si le mécanisme peut se faire en découpe avec du matériel accessible facilement usiné un canon rayé c’est clairement plus compliqué.

    Quant aux balles ce n’est pas vraiment un souci car dans le pire des cas où on n’y a pas accès (pays, age, …) on peut adapter tout le mécanisme avec un facteur d’échelle pour l’adapter a un calibre plus facilement accessible (22 long rifle par ex.).

    Je vois un intérêt pour les collectionneurs & les amateurs de soft gun.

  4. @kaasi:

    En lisant la source de la source (donc le poste du gars sur un forum) il dit qu’il a fait 200 tirs jusque là et que ça marche niquel. Pas qu’il n’a pu faire que 200 tirs.

  5. Pas mal pour réaliser des armes vu dans certains film de science-fiction ou jeu. Qui a dit fusil tronçonneuse de gears of war ?

  6. Bon bah j’ai lancé la production d’un Bat Pod.

    Je peux rouler 20 mètres avec, assez pour aller chercher mon pain.

    Ouf.

    Qui lance un masque de Batman? 🙂

  7. imprimer est facile (si on a la machine). connaissant un peu la fabrication des matériaux cette technique est géniale et est très utilisée pour faire des prototypes (plus rapide que de faire un moule en acier très cher et peu modifiable). comme pour tout c’est l’usage que l’on en fait qui peut être dangereux! Si ce type de machine est utilisé à l’avenir il faudra juste que les lois concernant leurs fabrications soient respectés.

  8. Vu dans les journaux dans quelque mois mon fils fut blesser par une arme à feu faite par lui avec une imprimante 3D. Je porte plainte contre le fabricant car il ne la pas mis dans sa notice qu’il est interdit de fabriquer de telles choses avec cette imprimante.
    Et Boumm a moi les millions.

  9. Etant donné qu’un de leur credo semble être “Students can actually test their rocket designs
    the way an engineer would, which gets them excited
    about the process – even the icky math part.”, j’imagine qu’ils sont à peu près surs de leur coup chez le fabricant.
    Merci d’éviter de commenter ce que vous ne comprenez pas…

  10. En même temps ça n’a rien de nouveau, n’importe quelle personne (de très nombreux artisans et ouvriers) qui sait utiliser une machine d’usinage classique (tour, fraiseuse) peut faire une arme même sommaire (un canon précis nécessite plus de savoir faire et de matos mais bon)

    Alors arrêtez de croire que du jour au lendemain on peut faire une arme chez soit ça a toujours été le cas, pour faire une sten un tour suffit et ça vaut bien moins cher q’une imprimante 3d.

  11. @Stuart : on peut se servir des prototypes réalisées en plastique pour réaliser des moulage tré précis et couler, grâce a des techniques de fonderies ancestrales (cire perdue par exemple), les pièces métalliques …

    son petit “famas” à soi, qu’on à construit soi même … Bon faut aussi manufacturer les munitions … mais pour rhabiller son pistolet à peinture, ce doit être motivant 😉

  12. on va avoir une news à chaque fois que quelqu’un fait un objet avec une imprimante 3D?

    c’est pas le principe de l’imprimante 3D de faire des objets?

  13. Surtout intéressant pour passer une arme à travers un portique de “sécurité” !
    Voilà où est le plus grand danger.

  14. @ garfield. Commentaire emplie d’une stupidité rare hormis le fait que vous n’avez aucune connaissance en matière d’arme à feu (ce qui peut être excusable) vous n’avez pas pris le temps de lire les commentaire précédent. Une arme même en polymère gardera toujours des pièces en acier entre autre le canon et le mécanisme interne (voir g36 et glock). Ne rêvez pas vous ne passerez jamais un portique avec ce type d’arme et quand bien même vous auriez une arme entièrement (pièce interne comprise) en polymère et fonctionnel (on peut toujours rêver) les portique modernes commencent à utiliser le principe de la détection de masse, grosso modo ils détectent les changements inattendus de masse. Bref le seul intérêt que je vois à imprimer des pièces détachés “d’arme à feu” serait pour l’airsoft, quand les pièces composant le corps de certaines réplique sont introuvable.

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