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RIM : des mesures drastiques au siège

Toujours dans le cadre de son projet d’économies global, le groupe canadien Research In Motion aurait décidé de faire appel à la solidarité des salariés de…

Toujours dans le cadre de son projet d’économies global, le groupe canadien Research In Motion aurait décidé de faire appel à la solidarité des salariés de son siège à Ottawa au Canada.

Selon des sources en provenance du quotidien Ottawa Citizen, la société aurait demandé à la majorité de ses effectifs d’Ottawa de limiter la durée de leurs vacances d’été et de venir travailler un jour de plus par semaine portant une semaine complète à 6 jours.

Cette augmentation du volume d’heures demandé aux salariés indique certainement que la direction souhaite sortir BlackBerry 10 au plus vite, une manière comme une autre de faire taire les critiques qui n’ont pas manqué de fuser ces derniers temps.

Le lancement réussi de BB 10 ainsi que la commercialisation de terminaux BlackBerry 10 restent les principales priorités de la société. Nous sommes immensément fiers du dévouement dont fait preuve le personnel afin que nous puissions tous parvenir à cet objectif.

Pour rappel, le système d’exploitation mobile du canadien est attendu pour le premier trimestre 2013, les premiers terminaux sont également attendus à cette période.

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4 commentaires
  1. ce qui va etre dramatique c’est si il y a dans quelques mois encore une annonce de licenciement: l’impression d’avoir travaillé a marche forcé pour le succès … de ceux qui auront pu rester.

  2. Le problème c’est que chaque fois qu’on a demandé des efforts ou des sacrifices financiers aux salariés cela n’a fait que retarder l’échéance.
    Et finalement ces salariés se sont retrouvés avec des indemnités de chômage amputées car basées sur les 12 derniers mois de salaire.
    Bon là on est au Canada, j’espère que les chefs d’entreprises y sont plus respectueux de leur personnel et que l’objectif est vraiment de désembourber la société.
    Dans ce cas bonne chance.

Les commentaires sont fermés.

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