Comme vous le savez sûrement maintenant, le point de départ du scénario de Call of Duty Black Ops 2 est le piratage du réseau de la défense par un certain Raul Menendez, dont le but, semble-t-il, est de tuer tous les présidents du G12. On nous a remontré le niveau présenté durant la conférence de Microsoft, à savoir l’attaque de L.A. par des nuées de drones, et de robots. On incarne donc Mason, qui est en train d’accompagner la présidente vers son bunker de L.A.
L’action est toujours aussi « hollywoodienne », le moteur graphique commence à sévèrement dater, mais au moins c’est parfaitement fluide sur la Xbox 360 sur laquelle tourne la démo. Il y a eu tout de même quelques modifications au niveau du moteur, avec encore plus de choses à l’écran et encore plus de particules. Les gars de Treyarch ont pris comme point de départ les armes de notre époque, en imaginant ce qu’elles pourraient devenir avec 10 années de recherche supplémentaires. Du coup, elles sont plus puissantes (le sniper peut tirer à travers le béton, par exemple), et leur viseur sont plus complet (là aussi, vision au travers du mur). Le personnage principal dispose, d’ailleurs, d’un lance-fléchettes explosives sur son bras droit, pas très puissant, mais qui semble déstabiliser ses ennemis. Autre élément important de l’arsenal du joueur, la possibilité de contrôler des drones (genre Parrot) équipés de mitraillettes. Pour le coup, il faut juste désigner l’endroit, et ils font faire le boulot.
Les robots que vous devrez détruire sont relativement comiques dans leurs déplacements, et font des petits mouvements d’animaux lorsqu’ils sont touchés. Pour vous donner une idée, pensez à l’ED209 de Robocop. Le moteur 3D ne gérant pas particulièrement bien les destructions (ce n’est pas le frostbyte), les développeurs ont scripté des destructions massives en arrière plan (ou même dans la rue où vous êtes).
Après une phase au sol parfaitement rythmée, entre sniper, combat rapproché, destruction de robots et utilisation de drone, vous prendrez en main un jet à poussée verticale pour un passage un peu long dans le ciel de Downtown L.A., où vous devrez détruire des drones. Nos alliés ont un peu tendance à traverser les immeubles, mais la chose semble fun à jouer, moins à regarder du coup… Pour finir cette séquence, Mason s’éjecte juste avant de précipiter son avion sur le dernier drone. C’est Hollywood !
Le jeu comporte également des missions nommées Strike Force, où vous devrez commander des escouades, et des robots, pour avancer et remplir l’objectif. Pour la première fois dans un COD, vous pourrez rater ces missions, et cela aura une influence sur la fin du jeu.
Vous avez des drones qui survolent la zone pour vous donner une vue large de la mission, mais vous pourrez aussi prendre le contrôle d’un des membres de l’escouade que vous voulez, pour renforcer vos ordres en quelque sorte. En fait, on dirait du multi coop, mais dans lequel vous êtes un peu le membre omnipotent de chaque escouade. Cette partie est uniquement solo. On regrette que Treyarch n’ait pas prévu un pendant multi de ces missions Strike Force.
Pour autant cela semble intéressant, même si je pense que ce sera particulièrement compliqué dans les modes de difficultés supérieures. Ce nouveau Call of Duty Black Ops ne révolutionnera pas la franchise pour un sou, mais devrait, néanmoins, proposer un « Hell of a ride » comme disent nos amis américains… Une sacrée expérience qui fut brève, mais intense !
L’action est toujours aussi « hollywoodienne », le moteur graphique commence à sévèrement dater, mais au moins c’est parfaitement fluide sur la Xbox 360 sur laquelle tourne la démo. Il y a eu tout de même quelques modifications au niveau du moteur, avec encore plus de choses à l’écran et encore plus de particules. Les gars de Treyarch ont pris comme point de départ les armes de notre époque, en imaginant ce qu’elles pourraient devenir avec 10 années de recherche supplémentaires. Du coup, elles sont plus puissantes (le sniper peut tirer à travers le béton, par exemple), et leur viseur sont plus complet (là aussi, vision au travers du mur). Le personnage principal dispose, d’ailleurs, d’un lance-fléchettes explosives sur son bras droit, pas très puissant, mais qui semble déstabiliser ses ennemis. Autre élément important de l’arsenal du joueur, la possibilité de contrôler des drones (genre Parrot) équipés de mitraillettes. Pour le coup, il faut juste désigner l’endroit, et ils font faire le boulot.
Les robots que vous devrez détruire sont relativement comiques dans leurs déplacements, et font des petits mouvements d’animaux lorsqu’ils sont touchés. Pour vous donner une idée, pensez à l’ED209 de Robocop. Le moteur 3D ne gérant pas particulièrement bien les destructions (ce n’est pas le frostbyte), les développeurs ont scripté des destructions massives en arrière plan (ou même dans la rue où vous êtes).
Après une phase au sol parfaitement rythmée, entre sniper, combat rapproché, destruction de robots et utilisation de drone, vous prendrez en main un jet à poussée verticale pour un passage un peu long dans le ciel de Downtown L.A., où vous devrez détruire des drones. Nos alliés ont un peu tendance à traverser les immeubles, mais la chose semble fun à jouer, moins à regarder du coup… Pour finir cette séquence, Mason s’éjecte juste avant de précipiter son avion sur le dernier drone. C’est Hollywood !
Le jeu comporte également des missions nommées Strike Force, où vous devrez commander des escouades, et des robots, pour avancer et remplir l’objectif. Pour la première fois dans un COD, vous pourrez rater ces missions, et cela aura une influence sur la fin du jeu.
Vous avez des drones qui survolent la zone pour vous donner une vue large de la mission, mais vous pourrez aussi prendre le contrôle d’un des membres de l’escouade que vous voulez, pour renforcer vos ordres en quelque sorte. En fait, on dirait du multi coop, mais dans lequel vous êtes un peu le membre omnipotent de chaque escouade. Cette partie est uniquement solo. On regrette que Treyarch n’ait pas prévu un pendant multi de ces missions Strike Force.
Pour autant cela semble intéressant, même si je pense que ce sera particulièrement compliqué dans les modes de difficultés supérieures. Ce nouveau Call of Duty Black Ops ne révolutionnera pas la franchise pour un sou, mais devrait, néanmoins, proposer un « Hell of a ride » comme disent nos amis américains… Une sacrée expérience qui fut brève, mais intense !
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