L’accusation est mince. À chaque fois qu’une idée assez vaste de scénario est reprise, doit-on crier au plagiat ? Pour établir une contrefaçon, il faut montrer que des personnages, des scènes et même des objets particuliers ont été volés. John L. Beiswenger réclame à Ubi Soft 1,05 million de dollars de dommages et intérêts, et 5,25 millions si la contrefaçon volontaire est établie. L’auteur réclame également l’interdiction à la vente de tous les produits dérivés du jeu, mais également d’Assassin’s Creed 3.
On se doute qu’Ubi Soft doit être en négociation avec l’auteur pour tenter d’arranger l’affaire. Notons tout de même que Link est sorti en 2003, et que la production d’Assassin’s Creed a débuté en 2004.
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