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Impressions (Xbox 360) – Prototype 2

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Il y a deux semaines de cela, nous étions conviés par Activision pour découvrir Prototype 2. Le studio Radical, qui fête ses 20 ans, était fier…

Il y a deux semaines de cela, nous étions conviés par Activision pour découvrir Prototype 2. Le studio Radical, qui fête ses 20 ans, était fier de nous montrer leur nouveau titre avec une orientation sur les sentiments, et sur l’histoire. Alors que nous nous attendions à retrouver nos pouvoirs à travers le contrôle de Alex Mercer, nous nous sommes finalement retrouvés à jouer avec James Heller, un sergent qui n’a pas froid aux yeux. Dans la salle de présentation, le taux de contamination était fortement élevé dans la salle, et nous étions ainsi tous munis d’une combinaison et d’un masque. Mais avons-nous été réellement infectés par Prototype 2 ?


Retrouvailles musclées

Bien entendu, Alex Mercer sera présent dans ce nouvel opus de la franchise. Néanmoins, ça n’est pas lui que vous incarnerez. Le sergent afro-américain est un costaud qui n’a peur de rien. Son histoire est plutôt attristante, car il a perdu sa femme, mais aussi que sa fille. Il finit par se retrouver dans une zone hautement infectée, en face à face avec Alex. Ce dernier en fera son associé en le contaminant, et ce, pour lutter contre les expériences du virus. Une sorte de vengeance, pour James, qui possède de nouveaux pouvoirs par rapport à ce dont nous nous étions habitués dans le premier jeu.
Cette révolte des deux sur-hommes devraient sans doute convaincre les fans de la saga qui devaient sans doute être sceptiques au niveau de la continuité du scénario. Pour ma part, il tient debout et il parvient à se différencier des traditionnelles histoires qu’on a l’occasion de voir sur la thématique des virus. Celui de Prototype 2 devrait fortement nous maintenir en haleine pendant tout le jeu, mais j’ai peur que l’aspect bac à sable le ralentisse trop. Si Radical a expliqué qu’un gros travail avait été réalisé dessus, afin de répondre aux critiques des fans qui trouvaient que le premier faisait un peu trop désordre, je suis quand même parvenu à me perdre dans une zone ultra contaminée, sans réellement savoir ce que je devais faire. Bien que le radar vous permet ne jamais perdre votre objectif de vue, les hordes de monstres et de militaires ne cessent de vous barrer le chemin. Vous faites, bien entendu, appel à vos pouvoirs destructeurs, mais cela en devient lassant. Mais les fans apprécieront ces phases complexes, car ils pourront réellement s’amuser à tester leurs nouvelles capacités complètement hallucinantes. Et puis, on sent tout de même un effort de scénarisation à travers les quelques rares apparitions de QTE, qui sont plutôt appréciables.

Si nous avons peur de nous lasser de ce massacre d’infectés, l’édition Radnet du jeu pourrait permettre de pimenter tout cela avec du nouveau contenu chaque semaine, après la sortie du jeu. Il semblerait qu’un challenge solo y fasse son apparition.

Bourrinerie contagieuse ?

Qui dit nouveau personnage, dit virus contracté différemment, donc l’apparition de nouveaux pouvoirs. Ceux qui ont été rajoutés à Prototype 2 sont incontestablement gores à souhait, et on adore ça !

Vous pourrez, par exemple, suspendre vos ennemis à des fils bien sanguinolents, pour finalement les faire exploser avec. Ce joyeux petit massacre qui ne manque pas d’hémoglobine permet de réaliser des combos intéressants et violents, qui ne manqueront pas d’assouvir votre soif de morts répugnantes. Vous aurez également la possibilité d’interagir avec les tanks et les hélicoptères de l’armée pour encore et toujours plus de destruction. Ces séquences sont assez stylées et demandent une certaine habilité, ce qui ajoute une difficulté plutôt jouissive !
Mais encore une fois, on se retrouve vite à casser de l’infectés (qui reviennent en continu dans les zones où le virus est hautement virulent) pour se frayer un chemin vers son objectif principal. Nous revoici au milieu d’un joyeux bordel qui ne risque pas d’amuser tout le monde, pour ne pas dire pourrait lasser une bonne partie des joueurs. Mais comme nous avons testé trois phases différentes du jeu associées à certains moments de l’histoire, nous n’avons pas pu témoigner de l’évolution du jeu, qui doit sans doute faire tout son charme. Un charme que l’on retrouve également à travers les lieux exploités, ainsi que dans les graphismes.

Bien que nous ne puissions donner un avis définitif (car nous avons testé le jeu sur une version pré-bétâ), les trois types de zones en fonction du taux de contamination permettent d’accorder un certain style graphique que l’on ne peut renier.

En somme, Prototype 2 ne s’annonce pas comme une mauvaise suite. Radical a souhaité attaquer son travail sur un aspect émotionnel, ce qui s’avère être une bonne idée, puisqu’elle permet de nourrir l’histoire, et le caractère des personnages. Ainsi, on sent quelques efforts au niveau du scénario, sur l’environnement qui a été peaufiné avec les trois types de zones de contagion, et les nouveaux pouvoirs encore plus gores qui permettent de réaliser des enchaînements bien sales. Les idées sont présentes, mais la peur de se retrouver, à nouveau, au milieu d’un joyeux bordel est toujours là. Nous espérons pouvoir démentir cette impression à travers le test du jeu, en avril.

Il y a deux semaines de cela, nous étions conviés par Activision pour découvrir Prototype 2. Le studio Radical, qui fête ses 20 ans, était fier de nous montrer leur nouveau titre avec une orientation sur les sentiments, et sur l’histoire. Alors que nous nous attendions à retrouver nos pouvoirs à travers le contrôle de Alex Mercer, nous nous sommes finalement retrouvés à jouer avec James Heller, un sergent qui n’a pas froid aux yeux. Dans la salle de présentation, le taux de contamination était fortement élevé dans la salle, et nous étions ainsi tous munis d’une combinaison et d’un masque. Mais avons-nous été réellement infectés par Prototype 2 ?


Retrouvailles musclées

Bien entendu, Alex Mercer sera présent dans ce nouvel opus de la franchise. Néanmoins, ça n’est pas lui que vous incarnerez. Le sergent afro-américain est un costaud qui n’a peur de rien. Son histoire est plutôt attristante, car il a perdu sa femme, mais aussi que sa fille. Il finit par se retrouver dans une zone hautement infectée, en face à face avec Alex. Ce dernier en fera son associé en le contaminant, et ce, pour lutter contre les expériences du virus. Une sorte de vengeance, pour James, qui possède de nouveaux pouvoirs par rapport à ce dont nous nous étions habitués dans le premier jeu.
Cette révolte des deux sur-hommes devraient sans doute convaincre les fans de la saga qui devaient sans doute être sceptiques au niveau de la continuité du scénario. Pour ma part, il tient debout et il parvient à se différencier des traditionnelles histoires qu’on a l’occasion de voir sur la thématique des virus. Celui de Prototype 2 devrait fortement nous maintenir en haleine pendant tout le jeu, mais j’ai peur que l’aspect bac à sable le ralentisse trop. Si Radical a expliqué qu’un gros travail avait été réalisé dessus, afin de répondre aux critiques des fans qui trouvaient que le premier faisait un peu trop désordre, je suis quand même parvenu à me perdre dans une zone ultra contaminée, sans réellement savoir ce que je devais faire. Bien que le radar vous permet ne jamais perdre votre objectif de vue, les hordes de monstres et de militaires ne cessent de vous barrer le chemin. Vous faites, bien entendu, appel à vos pouvoirs destructeurs, mais cela en devient lassant. Mais les fans apprécieront ces phases complexes, car ils pourront réellement s’amuser à tester leurs nouvelles capacités complètement hallucinantes. Et puis, on sent tout de même un effort de scénarisation à travers les quelques rares apparitions de QTE, qui sont plutôt appréciables.

Si nous avons peur de nous lasser de ce massacre d’infectés, l’édition Radnet du jeu pourrait permettre de pimenter tout cela avec du nouveau contenu chaque semaine, après la sortie du jeu. Il semblerait qu’un challenge solo y fasse son apparition.

Bourrinerie contagieuse ?

Qui dit nouveau personnage, dit virus contracté différemment, donc l’apparition de nouveaux pouvoirs. Ceux qui ont été rajoutés à Prototype 2 sont incontestablement gores à souhait, et on adore ça !

Vous pourrez, par exemple, suspendre vos ennemis à des fils bien sanguinolents, pour finalement les faire exploser avec. Ce joyeux petit massacre qui ne manque pas d’hémoglobine permet de réaliser des combos intéressants et violents, qui ne manqueront pas d’assouvir votre soif de morts répugnantes. Vous aurez également la possibilité d’interagir avec les tanks et les hélicoptères de l’armée pour encore et toujours plus de destruction. Ces séquences sont assez stylées et demandent une certaine habilité, ce qui ajoute une difficulté plutôt jouissive !
Mais encore une fois, on se retrouve vite à casser de l’infectés (qui reviennent en continu dans les zones où le virus est hautement virulent) pour se frayer un chemin vers son objectif principal. Nous revoici au milieu d’un joyeux bordel qui ne risque pas d’amuser tout le monde, pour ne pas dire pourrait lasser une bonne partie des joueurs. Mais comme nous avons testé trois phases différentes du jeu associées à certains moments de l’histoire, nous n’avons pas pu témoigner de l’évolution du jeu, qui doit sans doute faire tout son charme. Un charme que l’on retrouve également à travers les lieux exploités, ainsi que dans les graphismes.

Bien que nous ne puissions donner un avis définitif (car nous avons testé le jeu sur une version pré-bétâ), les trois types de zones en fonction du taux de contamination permettent d’accorder un certain style graphique que l’on ne peut renier.

En somme, Prototype 2 ne s’annonce pas comme une mauvaise suite. Radical a souhaité attaquer son travail sur un aspect émotionnel, ce qui s’avère être une bonne idée, puisqu’elle permet de nourrir l’histoire, et le caractère des personnages. Ainsi, on sent quelques efforts au niveau du scénario, sur l’environnement qui a été peaufiné avec les trois types de zones de contagion, et les nouveaux pouvoirs encore plus gores qui permettent de réaliser des enchaînements bien sales. Les idées sont présentes, mais la peur de se retrouver, à nouveau, au milieu d’un joyeux bordel est toujours là. Nous espérons pouvoir démentir cette impression à travers le test du jeu, en avril.

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