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1 million par semaine pour l’Amazon Kindle Fire

Parce que ça ne se passe pour l’instant qu’aux Etats-Unis, on n’entend pas encore trop parlé de la Kindle Fire d’Amazon en France. Et pourtant, la…

Parce que ça ne se passe pour l’instant qu’aux Etats-Unis, on n’entend pas encore trop parlé de la Kindle Fire d’Amazon en France. Et pourtant, la marque américaine vient d’annoncer vendre actuellement et pour la troisième semaine consécutive pas moins d’un million de tablettes Kindle Fire par semaine. Maintenant, il serait bien que le site de vente en ligne communique vraiment sur les chiffres exactes et non des effets d’annonces, non ?
Dans tous les cas, l’Amazon Kindle Fire est en passe de devenir la tablette Android n°1 !

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6 commentaires
  1. D’après d’autres sites, ils ont pas annoncé un million de fire, mais un million de Kindle, précisant que c’est la fire qui se vandait le mieux parmi la gamme Kindle.

  2. Je pense pas que google voit d’un bon oeil les ventes importantes du fire car ils n’en retire aucun bénéfice sachant qu’à part le jdg et certains sites qui parlent de tablette android , amazon ne revendique pas du tout cette appellation.

  3. Il serait bien de rectifier votre article en indiquant bien qu’il s’agit de vente de kindle en général et non pas seulement le fire, ce qui change beaucoup de chose.

  4. “Maintenant, il serait bien que le site de vente en ligne communique vraiment sur les chiffres exactes et non des effets d’annonces, non ?”

    Je sais que cette opacité ne fait ni vraiment plaisir aux consommateurs ni aux journalistes mais c’est une stratégie commerciale qui profite d’une règle fiscale US. En gros, pas besoin de donner les chiffres de ventes exacts d’un produit qui a une part minoritaire (moins de X% du CA, un truc comme ça) dans le Chiffre d’Affaires de la boîte. D’ailleurs, Barnes & Noble l’utilise également.

    Faut savoir que la situation est très très tendue entre Amazon et les éditeurs, et entre les éditeurs et B&N dans une toute petite mesure.
    Pour résumer, ils se sont fait ba*sés avec le contrat d’agence et rendre les chiffres de ventes public leur ferait perdre une arme face aux éditeurs (le Big Six américain).
    Et faut également savoir que cette annonce arrive pile au moment où on constate une très grande augmentation du prix de vente moyen des livres de gros éditeurs (Amazon et d’autres ont reconnu que cette augmentation des ventes impactait négativement la dynamique du livre numérique). Du coup, les “analyses prévisionnelles ebook” pour 2012 et 2015 sont totalement fausses (autant niveau progression, croissance, que baisse du prix moyen qui aurait dû descendre de 9 à 7 dollars et qui se retrouve aujourd’hui dans les 12-13). Bref, s’ils ont les chiffres de ventes exact, ils vont encore relever le prix en pointant la rentabilité (prix où l’ebook est le plus rentable).

    Au rythme où ça va, si le contrat d’agence n’est pas remis en cause dans les enquêtes (et éventuels) procès en cours sur l’entente prix, certains voient déjà les six gros éditeurs US tuer le livre numérique…

    Tu as donc une explication, dont je suis sûr qu’elle ne te convient pas, mais on en arrive malheureusement là vu qu’on est en pleine guerre froide entre les gros revendeurs et les éditeurs…

Les commentaires sont fermés.

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