“Je pense être très différent de Miyamoto, et pas seulement parce que je ne parle pas le japonais. De mon avis, il se focalise complètement sur le gameplay, alors que de mon côté, j’apprécie aussi utiliser les outils techniques. J’ai vraiment aimé l’idée d’insérer un côté artistique à mes jeux, dans la manière de raconter une histoire, à travers les artworks, la musique… afin de proposer un ensemble tirant partie d’une alchimie. Nous avons deux visions différentes. [En évoquant Miyamoto] Il est comme une star. Je trouve exagéré d’être comparé à lui. J’ai encore tellement à apprendre. [En évoquant maintenant les jeux Mario, et c’est d’ailleurs là que ça se “complique”] Je dois vous avouer quelque chose de terrible. Je ne suis pas fan des jeux Mario. Je n’aime pas la façon dont les personnages glissent, je n’aime pas l’inertie, et je n’aime pas le fait de ne pas pouvoir coller des baffes ! C’est une série de jeux fabuleuse, et je comprend que les gens l’apprécient. Mais ce n’est pas ma tasse de thé.”
Des propos qui nous permettent de faire une analogie de rigueur : en cette fin d’année, qui est le roi de la plate-forme : Mario ou Rayman ?
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