Evidemment, nous attendons vos listes maison dans les commentaires de cette article ! Allez, let’s go !
Ben :
Mon top 5 :
* Pro Evolution Soccer 5 : Fut un temps ou PES régnait en maître, et où les versions ultimes du jeu se trouvaient sur Xbox. Plus belles, jouables en lignes, elles n’auront pas mis de temps à s’octroyer mes faveurs. Et qu’importe si le lag était (parfois) au rendez-vous lorsqu’on s’adonnait à un match en ligne, la technique du gameplay était à elle seule suffisante pour me combler. Dommage, depuis, EA s’est retroussé les manches, et a renversé la vapeur…
* Top Spin : Après avoir écumé les 2 premiers volets de Virtua Tennis sur Dreamcast, je pensais ne plus à me frotter à une “simu” de tennis de si tôt. Manque de bol (façon de parler…), PAM Devlopment s’est décidé à révolutionner le genre un jour de l’année 2003 avec un Top Spin rapidement devenu maître étalon du genre, préférant étaler la carte du réalisme plutôt que celle de l’arcade. Graphiquement bluffant (à l’époque), doté d’une carrière longue comme le bras, il aura fait ma joie de longs mois durant…
* FIFA Street 2 : Encore un jeu de sport ? Et oui. Mais en même temps, nombreux sont ceux évoquant ce FIFA Street 2 avec une légère dose de nostalgie dans la voix. Bien amené, fun au possible, il était alors l’équivalent d’un NBA Street tout droit destiné aux amoureux du ballon rond fatigués de se la jouer réalisme exacerbé. J’espère secrètement que le FIFA Street qui nous attend début 2012 saura l’égaler. Sans trop y croire.
* Burnout Revenge : Pour moi, la série Burnout n’aura jamais été aussi efficace que lorsqu’elle s’est frottée au principe du “Revenge”. Bourrin à souhaits, rapide comme l’éclair, et libéré de toute contraire (je parle évidemment de cette foutue carte du monde implantée dans le Burnout Paradise, et qui m’aura gonflé au possible), il était de ces jeux qu’on lance pour une petite partie. Avant de se rendre compte, 5 heures plus tard, qu’on en est encore à débloquer des médailles, pour le fun…
* Star Wars : Knights of the Old Republic : La meilleure affaire que j’ai sans doute faite sur Xbox. Explications : acheté un peu moins de 5€ sur Cdiscount (oui j’admet m’être plongé dans l’aventure sur le tard…), le jeu de BioWare m’aura a bas mot accroché 80 heures, avec son scénario aux 30 000 embranchements, avec ses combats de l’impossible, et même avec ses quêtes annexes que n’importe quel amoureux du leveling saura se remémorer. Un grand jeu, soutenu par une trame des grands jours.
Ma plus grosse déception :
* Final Fight : Streetwise : Certains vont me dire : MER IL ET FOU. Pourtant, je reste un fan de la première heure de la licence Final Fight de Capcom, et j’avais misé gros sur ce retour. Manque de bol, les développeurs en charge du projet n’ont jamais dû ne serait-ce que tester l’épisode fondateur qui fit (ma) la joie des bourrins du début des années 90. Mou du genou, trop vulgaire, et finalement chiant comme la mort, il avait tout de même le mérite de proposer de jolis artworks. Ben quoi ?
La plus grosse daube à laquelle j’ai joué sur Xbox :
* The Simpsons : Road Rage : Un Crazy Taxi-like à la sauce Simpsons ? L’idée aura suscité bien des espoirs pour moi, fan de Groening devant l’eternel. Reste qu’une fois le jeu reçu, j’ai rapidement déchanté en me baladant dans les rues d’un Springfield déprimant comme jamais, loin de son homologue dépeinte dans les épisodes de la série. Et que dire de ce gameplay en papier mâché ? Ah, l’éternel souci des licences gâchées…
Valentin :
Mon top 5 :
* Panzer Dragoon Orta : Une tuerie, et un des derniers vrai bons jeux SEGA. Le support permettait enfin à la licence de s’exprimer clairement, et tout y était, graphisme, univers, ambiance, mise en scène, challenge. Assurément pas un titre innovant et révolutionnaire, mais bon, c’est Panzer Dragoon à son meilleur, et ça, c’est inestimable. Le jeu est encore dans ma ludothèque, je me récupèrerais bien une nouvelle Xbox pour me le refaire.
(NDLR : Valentin ne doit pas être au courant de la rétro-compatibilité de la Xbox 360, excusez-le !)
* Ninja Gaiden : Beau, long, rigoureux, difficile, gratifiant, à l’image de son ancêtre sur Famicom. Un vrai jeu, pas la soupe dégueulasse pour assistés qu’on nous sert en permanence depuis quelques années. La Team Ninja au sommet.
* Beyond Good & Evil : Mais pourquoi ce jeu a-t’il fait un flop ? Pourquoi bon sang ! Il avait pourtant tout pour lui : un univers envoutant, une histoire immersive et passionante, des personnages bien trempés, une réalisation bien ficelée. Ok, il n’est pas super long ni difficile, mais c’est le genre de jeu où l’on se laisse porter par le rythme, et de ce côté, tout est bon.
* Halo 2 : Autant Halo était chiant, mais chiant, avec son solo rébarbatif et son multi totalement déséquilibré, autant Halo 2 faisait vraiment bien taff. Pas exempt de défauts, toujours quelques soucis en multi, mais on prenait vraiment son pied, les maps étaient géniales, les armes et les véhicules bien foutus. Le solo était vraiment épique, varié et long, j’y repense avec plaisir, car c’est l’épisode qui m’a le plus remué de toute la série.
* Star Wars : Knight of the Old Republic : Bioware livrait un des meilleurs jeux de la licence, même Mass Effect ne m’a pas autant emballé que le 1er KOTOR. Long, prenant, passionant, fouillé, j’ai des frissons quand j’y repense, mon préféré dans ce top 5, car il a posé un jalon dans le genre.
Ma plus grosse déception :
* Fable : Je l’aurais bien renommé Affabulation. Pas un mauvais jeu, bien au contraire, mais j’ai toujours détesté les vaporwares pour lesquels on nous promettait monts et merveilles. Je me rappelle avoir rigolé jaune après 5 heures de jeux quand je me suis aperçu qu’on m’avait vendu la lune, mais qu’on gardait les pieds bien sur terre avec Fable. Lorsque monsieur Molyneux a avoué qu’il s’était peut-être un peu emballé lors de la promo de son jeu, j’ai ressenti une petite satisfaction personnelle, même si ça n’effaçait pas ce sentiment qu’il s’était un peu foutu de ma gueule de gamer.
La plus grosse daube à laquelle j’ai joué sur Xbox :
* Jet Set Radio Future : Comment tuer une licence à très fort potentiel ? simplifier son game-play, lui adjoindre une bande son de moins bonne facture, changer la direction artistique Funky Street culture en la transposant dans un truc vaguement futuriste. Mélangez, secouez, servez, circulez, y’a plus rien à voir. Un énorme gâchis.
François :
Mon top 5 :
* Halo : Le véritable premier FPS console, qui utilisait le premier vrai pad adapté aux FPS. Bien sûr, les puristes du PC hurleront en lisant ça. Et pour avoir rejoué à Halo (Anniversary) il y a peu, on retrouve l’expérience de jeu de ce titre qui a déjà 10 ans, et qui est toujours aussi efficace.
* Panzer Dragoon Orta : Voilà bien une franchise que j’aimerais voir revenir sur nos consoles actuelles. Véritable témoignage du génie de chez SEGA, ce titre m’avait scotché sévèrement à mon canapé !
* Fable : Malgré les promesses toujours très exagérées de notre ami Peter Molyneux, Fable reste un titre majeur dans la ludothèque de la Xbox (et de la 360 également). Si on oubliait les promesses non tenues, le titre était tout de même de haut niveau, et le scénario également.
* PGR2 : Je suis un peu du même avis que Franck concernant ce titre, c’est la première véritable expérience de jeu multijoueur qui a donné, à mes yeux, ses lettres de noblesses au Xbox Live.
* Dead or Alive 3 : Voilà un titre qui m’a fait flingué du pad Xbox (S ou pas d’ailleurs). Ce jeu de baston est juste le plus technique et le plus classe visuellement de la génération de console à laquelle appartient la Xbox. Une référence, toujours inégalée pour moi.
* Oddworld : La Fureur de l’Étranger : On oublie souvent que deux des plus gros titres de la franchise Oddworld ont vu le jour exclusivement sur Xbox. Du coup, j’en profite ici pour parler de ce titre si particulier, qui me rappelle un peu Bioshock dans son envie de faire un peu de changement dans l’univers si codifié du FPS.
Ma plus grosse déception :
* Jet Set Radio Future : Tant de promesses non tenues… Ayant toujours une Dreamcast, je considère ce titre comme une référence de cette console (oui oui, devant Soul Calibur), du coup, la version Xbox ayant été ratée, ça m’a fait vraiment mal. M’enfin, encore une franchise que nos amis de SEGA devrait faire revenir !
La plus grosse daube à laquelle j’ai joué sur Xbox :
* Fuzion Frenzy : iIci, c’est d’un party game bien raté dont il s’agit… Et c’est peut être la l’échec de Microsoft sur cette génération là : ne pas avoir réussi à ouvrir sa console aux titres casuals, ce qui a ouvert la porte du succès (commercial) à la Wii.
Franck :
Mon top 5 :
* Projet Gotham Racing 2 : Ah, que de soirées passées sur le Xbox Live dans les rues d’Édimbourg, Barcelone ou Stockholm à essayer d’être en tête de la course tout en négociant les dérapages à merveille pour accumuler des points de performance, ces fameux Kudos. Orienté arcade mais avec un moteur physique que ne renierait pas un simulateur, ce jeu était pour moi le summum de ce que pouvait proposer une console : longévité, fun, et surtout mauvaise fois évidente lorsqu’on poussait intentionnellement son adversaire en lui lâchant au micro un petit “sorry” de faux-cul.
* Fable : Choisir entre le bien et le mal et voir l’évolution de son personnage depuis son jeune âge jusqu’au moment ou il devient adulte c’était le credo de ce jeu action-RPG. Chaque action avait une influence sur l’orientation du personnage mais aussi sur son aspect, et même si l’on partait tous d’un personnage identique, à la fin du jeu nos héros avaient tous des physiques différents. Du coup on recommençait le jeu encore une fois juste pour se recréer un perso encore différent.
* Ninja Gaiden : Quelle classe ce Ryu Hayabusa lorsqu’il combat ses adversaires. Bon, ça c’est la théorie car avant d’atteindre ce stade il fallait s’entraîner dur tellement la difficulté de ce jeu était grande. Mais une fois les différentes techniques apprivoisées quel kif mes amis pour probablement le plus beau jeu sorti sur Xbox.
* Beyond Good & Evil : Véritable fable écologique, ce “Zelda français” m’aura fait rêver comme aucun autre jeu ne l’avait fait avant sur Xbox. Un remake HD pour nos consoles modernes est disponible depuis peu et je vous le conseille fortement. J’attends impatiemment la suite qu’on nous annonce puis annule puis re-annonce depuis de nombreuses années et quand j’entends Michel Ancel travailler plutôt sur Rayman j’ai moi aussi envie de distribuer des baffes.
* Prince of Persia: The Sands of Time : Ce n’est peut-être pas le plus beau jeu de la liste mais quel bonheur de voir la franchise “Prince of Persia” renaître avec ses décors féeriques moi qui jouait aux épisodes originaux sur mon Amiga 500. Je suis un grand fan de la licence et encore aujourd’hui j’achète religieusement tous les titres mais rien ne remplacera ce Sands of Time.
Ma plus grosse déception :
* Halo : Je vous entends déjà hurler: “Quoi? Mais quel boulet ce Franck. Il ne met pas Halo dans son top 5?”. Effectivement pour moi Halo est une déception. Boosté par les double sticks et sous couvert d’une grosse claque graphique par rapport à la concurrence le jeu a, selon moi, été surnoté. Oui les extérieurs étaient magnifiques mais les intérieurs étaient honteusement répétitifs et le scénario terriblement creux. Et sous prétexte d’ouvrir le genre au plus grand nombre on nous a parachuté une barre de vie qui se recharge automatiquement… c’est d’ailleurs cette casualité qu’on se traîne encore aujourd’hui.
La plus grosse daube à laquelle j’ai joué sur Xbox :
* Driv3r : Encore aujourd’hui j’ai en travers de la gorge le fait de m’être fait escroquer par Atari sur ce titre. Autant les phases en voiture étaient à peu près sympathique pour ce clone de GTA, autant les phases à pied étaient catastrophiques à la limite de l’injouable. Après 2h de jeu je l’ai rangé à nouveau dans sa boîte pour ne plus jamais l’ouvrir. Du coup, rancunier, je n’ai même pas acheté le tout dernier Driver : San Francisco.
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