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Regarder du p0rn au boulot, c’est grave !

Non, ce n’est pas moi qui le dit (pensez-vous…), mais la cour de cassation, qui a jugé que le fait de consulter des sites classés XXX,…

Non, ce n’est pas moi qui le dit (pensez-vous…), mais la cour de cassation, qui a jugé que le fait de consulter des sites classés XXX, mais aussi des sites de rencontre, était un motif valable de licenciement pour faute grave.

Pas de chance donc pour cet agent d’exploitation rattaché au groupe Nicollin, qui aurait écumé entre les mois de janvier et d’avril 2007 sur son poste de travail des sites tels que club-mateur, sexfulove, sa-sex ou encore club-sexyloo pour ne citer qu’eux, et qui s’est fait mettre à la porte pour ce motif.

Mais pas que, puisque selon le site numerama, l’homme aurait également abusé de son autorité, demandant de manière plus ou moins directe des faveurs sexuelles à une employée, après que cette dernière ait “demandé” le reclassement du contrat de son compagnon, évoluant dans la même boîte, en CDI. Euh…

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18 commentaires
  1. En même temps, faire autre chose que bosser quand on est au boulot …

    Hein ! Vous là bas, qui consultez le JDG pendant vos heures de boulot ! Allez hop hop hop !

  2. Moi, c’est juste l’image qui me fais marrer (souvenir ,souvenir), Burn After Reading, comment j’ai trop kiffer ce film, probablement l’un des meilleurs films des frères Coen. En fait j’suis un p’tain de fan des frères Coen (Barton Fink, Fargo, The big Lebowski, O’Brother, No country for old men, Burn After Reading …)
    Sinon le p0rn au taf, j’m’en cogne, je suis mon patron alors, d’ici là que je me vire …

  3. Oui faute lourde. Dans un contrat de travail, je crois que cela sera une faute d’inexécution assez pesante vu que je m’en doute que les parties aient donné leur consensus, ni même proche, pour des consultations de ce genre. Des consultations “simples” sans apport à l’activité salariale peuvent être vues comme étant une faute puisque cela empêche la bonne et complète exécution du contrat, comme prévu. Rien d’étonnant alors que la Cour ait tranché ainsi pour des sites pornographiques (contre les bonnes meurs –> faute lourde). Un gamin ce individu.

  4. c’est quoi ce jugement a deux balles.

    en gros ce jugement va faire jurisprudence

    et comme dit SQU si on est webmaster d’un site xxx ou de rencontre on est obligé de surfer sur ce genre de site.

    donc rien qu’en s’appuyant la dessus les patrons de boite gerant des sites XXX et de rencontre peuvent licencier comme il le souhaite, c’est pas que je suis contre mais le truc ca créé un flou juridique pourquoi une société pourrait et pas une autre !

  5. Relisez l’arrêt de la cour de cassation. Il n’est pas du tout constitué que le fait de regarder des sites pornos soit constitutif d’une faute grave. Il n’a pas fait que ça le coco!
    Vérifiez vos sources un minimum. L’arrêt est mis en lien sur le site de Numerama! Soyez un minimum “pro” les soit disant journalistes!

  6. @Blegoff : faut arrêter de raconter n’importe quoi ! Bien sur que non, les boites de site porno ne vont pas licencier leur employés qui vont sur le site de la boite. Tout simplement parce que la consultation est nécessaire pour que l’employé fasse son travail. C’est évident, et une entreprise de site porno qui voudrait jouer à ça se ferait défoncer au prudhomme ! Y’a aucun flou au niveau juridique. (dans ta tête, par contre…)

  7. @toto : malheureusement pour toi, dismuter a raison : l’emploi de “après que” est suivi de l’indicatif puisque l’action est réelle (elle a eu lieu puisque “après que”)
    Donc pas de subjonctif (temps hypothétique)
    Non mais !

Les commentaires sont fermés.

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