Nouvelle sortie pour la licence Red Faction, qui peine décidément à trouver sa voie. Après nous avoir bluffés via un volet sous-tire Guerilla, la série revient sur le devant de la scène avec un opus au sobriquet rudement bien choisi : Armaggedon.
Si vous faites parti de ceux qui s’attendaient à la reprise des éléments de l’opus Guerilla (d’ailleurs plutôt réussi dans son ensemble), sachez que vous allez être déçu. Volition, une fois de plus aux commandes du développement de ce volet, s’est décidé à ne pas réutiliser ne serait-ce que les bases posées par sa précédente création. Dommage, on dit ici adieu aux environnements ouverts, pour mieux hériter de niveaux fermés, linéaires, et aux objectifs (trop) bien définis. Catapulté dans la peau du petit-fils de l’homme qui illustra l’épisode Guerilla, vous devrez, utilisant le prétexte d’une invasion de bestioles hostiles comme jamais, tirer parti de votre arsenal du mieux que vous pourrez, aidé par une visée quasi-automatique, vous autorisant à jongler d’une cible à une autre en deux temps trois mouvements . Inutile de pester : cette aide vous sera rapidement précieuse, dans le sens où vous serez amené à évoluer dans des environnements confinés, taillés pour que vos ennemis soient en mesure de vous attaquer de toutes parts ! Comme quoi, il ne faut décidément jamais refuser une main tendue.
Et puis, notre héros dispose également de quelques pouvoirs permettant au soft de ne pas se poser comme le TPS sans âme du mois (quoique). Il peut ainsi tirer parti de la nanoforge (si vous n’avez jamais approché la série, sachez qu’il s’agit d’une sorte de resucée de la Force de la saga Star Wars, à quelques détails près) , qui va lui permettre d’envoyer non seulement des espèces d’ondes de Force choc sur ses poursuivants, mais aussi de réparer les décors du jeu, pour les remettre en état neuf. Et oui : cet épisode Armaggedon ne renie pas LA force de la saga Red Faction, soit sa propension à afficher des niveaux où tout est destructible, ou presque. Résultat : le premier contact avec le jeu demeure fun au possible, et on s’exerce à la destruction, puis à la reconstruction en règle de tout ce qui nous passe à portée de flingue. Ensuite ? Et bien, difficile de se passionner pour le scénario, commun à en pleurer, et qui ne devrait passionner que ceux adeptes des pitchs S.F de bas étage. Nous reste alors à enchaîner les niveaux, et à tenter de prendre notre pied tant bien que mal à finguer sur tout ce qui bouge. Une fois l’aventure principale bouclée par contre, sachez que vous n’aurez pas grand chose à vous mettre sous la dent du côté du multi. Réduit à son strict minimum, il se fait balayer sans mal par une pléthore de concurrents bien mieux lotis sur la question, et ne devrait dans tous les cas que conserver votre attention quelques minutes durant. Un peu maigre tout de même donc…
Loin de révolutionner le genre, Red Faction Armaggedon cumule les critères lui permettant de décrocher le prix du petit TPS sympathique du moment. Offrant quelques alternatives de gameplay bien trouvée (pas vraiment originales par contre, mais on passera l’éponge), il nous permet de passer un moment agréable en sa compagnie. Et après ? Et bien, on ira sans doute pas jusquà évoquer un quelconque potentiel de “replay value”. Il ne faudrait pas non plus abuser…
Le verdict ?
Les +
Les décors destructibles
Des possibilités de gameplay bien trouvées
Les –
Un peu linéaire tout de même
Un mode multijoueur rachitique
Si vous faites parti de ceux qui s’attendaient à la reprise des éléments de l’opus Guerilla (d’ailleurs plutôt réussi dans son ensemble), sachez que vous allez être déçu. Volition, une fois de plus aux commandes du développement de ce volet, s’est décidé à ne pas réutiliser ne serait-ce que les bases posées par sa précédente création. Dommage, on dit ici adieu aux environnements ouverts, pour mieux hériter de niveaux fermés, linéaires, et aux objectifs (trop) bien définis. Catapulté dans la peau du petit-fils de l’homme qui illustra l’épisode Guerilla, vous devrez, utilisant le prétexte d’une invasion de bestioles hostiles comme jamais, tirer parti de votre arsenal du mieux que vous pourrez, aidé par une visée quasi-automatique, vous autorisant à jongler d’une cible à une autre en deux temps trois mouvements . Inutile de pester : cette aide vous sera rapidement précieuse, dans le sens où vous serez amené à évoluer dans des environnements confinés, taillés pour que vos ennemis soient en mesure de vous attaquer de toutes parts ! Comme quoi, il ne faut décidément jamais refuser une main tendue.
Et puis, notre héros dispose également de quelques pouvoirs permettant au soft de ne pas se poser comme le TPS sans âme du mois (quoique). Il peut ainsi tirer parti de la nanoforge (si vous n’avez jamais approché la série, sachez qu’il s’agit d’une sorte de resucée de la Force de la saga Star Wars, à quelques détails près) , qui va lui permettre d’envoyer non seulement des espèces d’ondes de Force choc sur ses poursuivants, mais aussi de réparer les décors du jeu, pour les remettre en état neuf. Et oui : cet épisode Armaggedon ne renie pas LA force de la saga Red Faction, soit sa propension à afficher des niveaux où tout est destructible, ou presque. Résultat : le premier contact avec le jeu demeure fun au possible, et on s’exerce à la destruction, puis à la reconstruction en règle de tout ce qui nous passe à portée de flingue. Ensuite ? Et bien, difficile de se passionner pour le scénario, commun à en pleurer, et qui ne devrait passionner que ceux adeptes des pitchs S.F de bas étage. Nous reste alors à enchaîner les niveaux, et à tenter de prendre notre pied tant bien que mal à finguer sur tout ce qui bouge. Une fois l’aventure principale bouclée par contre, sachez que vous n’aurez pas grand chose à vous mettre sous la dent du côté du multi. Réduit à son strict minimum, il se fait balayer sans mal par une pléthore de concurrents bien mieux lotis sur la question, et ne devrait dans tous les cas que conserver votre attention quelques minutes durant. Un peu maigre tout de même donc…
Loin de révolutionner le genre, Red Faction Armaggedon cumule les critères lui permettant de décrocher le prix du petit TPS sympathique du moment. Offrant quelques alternatives de gameplay bien trouvée (pas vraiment originales par contre, mais on passera l’éponge), il nous permet de passer un moment agréable en sa compagnie. Et après ? Et bien, on ira sans doute pas jusquà évoquer un quelconque potentiel de “replay value”. Il ne faudrait pas non plus abuser…
Le verdict ?
Les +
Les décors destructibles
Des possibilités de gameplay bien trouvées
Les –
Un peu linéaire tout de même
Un mode multijoueur rachitique
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