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Sobi : le vélib’ de demain ?

Cela fera bientôt un an que l’on entend parler de la bicyclette sociale SOBI imaginée par Ryan Rzepecki. Un entrepreneur américain qui estime que l’avenir du…

Cela fera bientôt un an que l’on entend parler de la bicyclette sociale SOBI imaginée par Ryan Rzepecki. Un entrepreneur américain qui estime que l’avenir du Vélib’ réside dans un suivi GPS ainsi que dans un cadenas incassable qui permettrait d’attacher n’importe quel type de vélo n’importe où. En clair, un système qui ne nécessiterait aucune infrastructure comprenant des vélos géolocalisés à débloquer à l’aide d’un smartphone (iOS ou Android).

Maintenant basé à New York, le projet a évolué et l’auteur cherche à financer la production de son cadenas électronique en U avec une nouvelle version (toujours dotée d’un GPS) mais deux tiers plus légère que la précédente qui comportera un panneau solaire gardant la serrure sous tension.

Côté software, l’application mobile SOBI de localiser et de débloquer les vélos. Ceci moyennant une redevance mensuelle qui comprendra une heure de location par jour. Une application qui met également en oeuvre un système financier intelligent qui attribuera des crédits de location supplémentaires à ceux qui prendront la peine de déposer les vélos dans des lieux prévus à cet effet.

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11 commentaires
  1. Moyennement convaincu dans le sens ou l’un des gros interet des velib reside dans le fait qu’il sont en permanence “redistribues” a travers la ville pour eviter les penuries…
    Avec ce systeme je crains que les velos se retrouvent un peu n’importe ou…

  2. J’habite en Allemagne (Munich), et çà existe déjà plus ou moins: il y a tout un tas de vélos “Bahn” en ville qui ont tous un numéro de téléphone. Il suffit d’appeler pour que le vélo soit débloqué à distance (un opérateur donne un code). C’est bien pratique, et il n’y a pas de “stations” comme pour les velib et autre.

  3. Dans les pays civilisés ça peut marcher, mais en France je donne pas 2 mois avant que tous les vélos aient disparu dans la nature (genre avec un hack qui va bien), sans compter les détériorations matérielles.

    Sans compter qu’à Lyon, (qui a adopté ce système de vélos des années avant Paris soit dit en passant) on tombe parfois sur des vélos ayant probablement fait un séjour sous sous un train vu leur état 😀

  4. Le cadenas “électronique” me fait bien rigoler.

    Les “récupérateurs” de métaux ne vont pas s’emmerder, ils vont jeter le cycle dans leur pick-up et le tour est joué.

    S’ils sont consciencieux et travailleurs ils peuvent ainsi “recycler” plusieurs dizaines de montutes et auront ainsi réalisé une bonne journée.

    En moins d’une semaine ils peuvent liquider la totalité du parc d’une grande ville. 😕

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