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Impressions : Metro : Last Light

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Découvert dans Metro 2033, l’un des FPS de l’an passé qui de mon avis méritait le plus d’attention, le personnage d’Artyom sera bientôt de retour au…

Découvert dans Metro 2033, l’un des FPS de l’an passé qui de mon avis méritait le plus d’attention, le personnage d’Artyom sera bientôt de retour au sein d’une suite directe nommée Metro Last Light, et qui pourrait bien se placer comme un futur must have du genre. Explications…



Si nous n’avons pas eu l’occasion de véritablement jouer à ce Metro Last Light, sa présentation en bonne et due forme par ses développeurs, ponctuée d’extraits de gameplay pour le moins saisissants, nous aura toutefois largement convaincu de son potentiel. D’ores et déjà annoncé pour débarquer sur Wii U dans le courant de l’année 2012, mais aussi, et ça semblait logique, sur les Xbox 360, Playstation 3 et PC, il arbore une fois encore un pitch scénaristique basé sur un fond de menace nucléaire mêlée à une guerre civile en cours. Ses décors en ruines laissant traîner ici et là des corps en décomposition, des corbeaux hurlant et que sais-je encore arrivent à poser dans mal aucun une ambiance pesante, qui joue clairement en sa faveur. Entièrement axé sur un mode solo scripté au possible, mais diablement nerveux, il se pare de décors en grande partie destructibles permettant des approches en terme de gameplay radicalement différentes. Ainsi, nous avons pu admirer à l’oeuvre le héros du jeu afficher une approche tactique, basée sur le fait de tirer une balle dans chaque ampoule croisée, de supprimer toute source de lumière de n’importe quelle façon qui soit, dans le but de semer le doute chez l’ennemi, et de pouvoir prendre ses représentants par surprise. Comprenez : par derrière, et en leur tranchant la gorge d’un geste aussi sec que précis. Un autre extrait de gameplay (joué en live, pour ne rien gâcher) nous laissait apercevoir une phase en wagonnet, où, dirigé par une bonne âme, vous deviez vous occuper de faire tomber un à un vos assaillant, en usant aussi bien des douilles classiques que de cocktail molotov de fortune. Classique, certes, mais toujours aussi efficace, et diablement alléchant. 2012 s’annonce décidément comme un excellent cru vidéoludique…

Découvert dans Metro 2033, l’un des FPS de l’an passé qui de mon avis méritait le plus d’attention, le personnage d’Artyom sera bientôt de retour au sein d’une suite directe nommée Metro Last Light, et qui pourrait bien se placer comme un futur must have du genre. Explications…



Si nous n’avons pas eu l’occasion de véritablement jouer à ce Metro Last Light, sa présentation en bonne et due forme par ses développeurs, ponctuée d’extraits de gameplay pour le moins saisissants, nous aura toutefois largement convaincu de son potentiel. D’ores et déjà annoncé pour débarquer sur Wii U dans le courant de l’année 2012, mais aussi, et ça semblait logique, sur les Xbox 360, Playstation 3 et PC, il arbore une fois encore un pitch scénaristique basé sur un fond de menace nucléaire mêlée à une guerre civile en cours. Ses décors en ruines laissant traîner ici et là des corps en décomposition, des corbeaux hurlant et que sais-je encore arrivent à poser dans mal aucun une ambiance pesante, qui joue clairement en sa faveur. Entièrement axé sur un mode solo scripté au possible, mais diablement nerveux, il se pare de décors en grande partie destructibles permettant des approches en terme de gameplay radicalement différentes. Ainsi, nous avons pu admirer à l’oeuvre le héros du jeu afficher une approche tactique, basée sur le fait de tirer une balle dans chaque ampoule croisée, de supprimer toute source de lumière de n’importe quelle façon qui soit, dans le but de semer le doute chez l’ennemi, et de pouvoir prendre ses représentants par surprise. Comprenez : par derrière, et en leur tranchant la gorge d’un geste aussi sec que précis. Un autre extrait de gameplay (joué en live, pour ne rien gâcher) nous laissait apercevoir une phase en wagonnet, où, dirigé par une bonne âme, vous deviez vous occuper de faire tomber un à un vos assaillant, en usant aussi bien des douilles classiques que de cocktail molotov de fortune. Classique, certes, mais toujours aussi efficace, et diablement alléchant. 2012 s’annonce décidément comme un excellent cru vidéoludique…

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