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L’hoverbike de Chris Malloy bientôt en vente ?

Chris Malloy a réalisé un prototype de moto volante baptisé Hoverbike doté d’un moteur bi-cylindre de 1170 cc de chez BMW. La machine de 3 mètres…

Chris Malloy a réalisé un prototype de moto volante baptisé Hoverbike doté d’un moteur bi-cylindre de 1170 cc de chez BMW. La machine de 3 mètres de long sur 1,3 m de large est composée de kevlar et de carbone pour un poids total de 105 kg. Capable de soulever près de 295 kg elle embarque un réservoir de 30 litres permettant de parcourir une distance théorique de 150 km (distance qui peut-être doublée par un réservoir additionnel).

Au niveau de la prise en main l’Hoverbike comporte un guidon dont la partie droite est dédiée à l’accélérateur tandis que la partie gauche gère l’inclinaison. Pouvant atteindre les 278 km/h et une altitude de 3000 mètres, l’Hoverbike a pour but de remplacer les hélicoptères uni-personnels très utilisés en Australie.

Chris Malloy espère pouvoir lancer la production d’ici un an avec un prix pouvant attendre les 30 000 €. Qui plus est, l’appareil ne devrait pas nécessiter de permis de pilotage. Qui m’aide à peindre une piste d’atterrissage dans la cours du JDG ?

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24 commentaires
  1. “l’appareil ne devrait pas nécessiter de permis de pilotage” : O_o euh c’est la porte ouverte a toute les fenetres ca !!!

  2. 3000m d’altitude ? Sans permis ? Pour un truc qui visiblement n’inclut aucune sécurité ? Et la propulsion, elle est où ? Sans compter que les hélices sont sans carénage, ce qui au niveau légal ne passerait jamais (pas intérêt à y passer la main).
    Bref pour le moment je n’y crois pas.

  3. Bien que l’idée soit très alléchante, je pense réellement que c’est un fake.
    Comme stabiliser l’engin latéralement ? le seul élément serait le pilote (d’où les sangle pour le maintenir en équilibre sur les photo de vol) les pales inclinables vont seulement d’avant en arrière.
    De plus les données de performance semble être donnée au pifo-mètre.

  4. Je trouve pas sa très design et franchement vous vous voyez la dessus ? Moi je me sentirais pas a l’aise ni protégé… Et c’est tellement plus chouette un helico !

  5. intéressant comme concept. vivement une video que l’on puisse voir se que cela donne.
    Wait and See

  6. Aucune vidéo ? C’est quand même vachement louche… Au premier vol de l’engin c’est OBLIGE que quelqu’un sorte sa caméra pour filmer ça…

  7. ” l’appareil ne devrait pas nécessiter de permis de pilotage.”

    En Australie, en france il faudra une licence ULM ….. L’équilibrage latéral me parait un peu suspect aussi !

    Peu de chance aussi que ce soit homologué en France car en cas de panne…. a part maitriser la lévitation, peu de chance de s en sortir.

  8. @hordax: Le ciel n’est pas vide, mais il existe une sacrée zone de liberté (appelée espace de classe G) qui monte parfois jusqu’à 3300m (FL115) dans laquelle volent pas mal de choses assez variées: avions de tourisme, petits jet d’affaires, ULM, montgolfière, zeppelin, mais aussi des aéronefs de construction amateure. Et ce n’est pas les terrains d’aviation privés qui manquent, ne serait-ce qu’en France.
    Et j’aimerais bien essayer ce truc, mais avec un petit pare-brise, parce que le moindre truc rencontré de face à 300km/h https://www.journaldugeek.com/wp-content/plugins/smilies-themer/Emoticons-geek/quiet_16x16.png

  9. Commençons par analyser le mouvement avant-arrière avant d’aborder le problème majeur:
    L’engin est composé de 2 rotors avant et arrière contra-rotatifs bi-pales bois à pas fixe. L’inclinaison avant-arrière ne peut se faire qu’en variant la vitesse de rotation d’un rotor par rapport à l’autre. Supposons l’utilisation d’un gyroscope pour limiter l’inclinaison angulaire et stabiliser la position angulaire: La position inclinée crée une force longitudinale qui permet à l’engin d’avancer ou de reculer. L’engin n’est absolument pas carénné, les turbulences crées par la vitesse de 278 km/h annoncée sont ingérables et pour le pilote et pour la machine même avec un module électronique (Trop d’inertie des rotors à pas fixes pour les réactions de correction d’assiette). Sans compter que la moindre variation de la position du pilote engendre un déséquilibre qu’il faut corriger en temps réel.

    Et maintenant le vrai problème: La stabilisation latérale: Visuellement, aucun dispositif de stabilisation n’est prévu tel qu’un transfert de masse pour décaler le centre d’équilibre, ou deux rotors additionnels latéraux à pas variables ou vitesse variable plus petits pour assurer le maintien en position plane stable, ou mini-turbine(s) orientable(s)… Donc la machine présentée n’est absolument pas stable lattéralement.

    Anticipons un essai de vol: Décollage, basculement sur un côté, et écrasement au sol. Le tout en moins de 2 secondes, et à moins de 2 mètres d’altitude.

    Info? Intox? … Intox évidemment.

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