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Test : Metro 2033

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Si vous êtes, comme moi, fans des FPS solo très immersifs et dotés de scénarios béton, vous avez surement dû vous intéresser il y a un…

Si vous êtes, comme moi, fans des FPS solo très immersifs et dotés de scénarios béton, vous avez surement dû vous intéresser il y a un moment déjà à Metro 2033… Alors évidemment, quand j’ai eu la possibilité de le tester en avant première, je n’ai pas voulu écrire le test sans en avoir vu le bout. M’enfin le voici, en espérant que cela vous donnera envie (ou pas !).

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Metro 2033 est l’adaptation du roman éponyme de Dmitry Glukovsky . En Russie, le roman s’est tout de même vendu à plus de 400 000 exemplaires, et il devrait d’ailleurs sortir chez nous dans le courant de l’année. Le roman (et donc le jeu) se déroule en 2033, la civilisation telle que nous la connaissons a cessée d’exister suite à une guerre nucléaire qui s’est déroulée en 2011. Le personnage principal du titre Artyom, 22 ans, est né directement sous les bombes. Il fait partie des rares survivants, qui sont maintenant installés dans les tunnels du métro Moscovite. La vie à la surface étant impossible, du fait des radiations qui polluent la terre et les eaux, mais aussi par les créatures mutantes qui ont pris possession des villes détruites. Ce qui commence comme une mission pour lutter contre un ennemi plus intelligent que la masse de base des mutants qui se balade dans les couloirs du métro, se poursuit comme une quête initiatique pour Artyom, qui découvrira bientôt qu’il n’est pas tout à fait comme les autres, et que ce qui affecte parfois ses congénaires, comme des pertes de connaissance, ne l’affecte pas lui. En échange de ce “don”, Artyom souffre de visions de créatures d’ombres, qui semblent parfois l’aider, d’autre fois l’enfoncer encore plus dans l’horreur.

Le monde du dessous semble avoir mis à profit les vingt ans qui le sépare de la guerre nucléaire pour recréer un semblant d’organisation. Comme d’habitude l’homme retombe dans ses mauvais travers assez vite, et des factions apparaissent (des nazis, des Soviets, etc., bref tout ce que l’humanité compte de joyeux drilles quoi :p), qu’il vous faudra dézinguer à la chaîne. La tâche ne sera pas forcément aisée, puisque du côté des armes et du matériel que vous pourrez vous procurer, il va falloir vous attendre à devoir faire avec un amalgame de vieilleries fonctionnant plutôt mal. La monnaie d’échange de cet univers post apocalyptique étant les munitions, il faudra de plus faire face à pas mal d’arnaques, et à des armes à l’allure parfois alléchante, mais à l’efficacité proche de zéro. Parfois, au détour d’un tunnel, ou lors des rares escapades en surface, vous devrez gérer une autre ressource : votre masque à gaz et ses recharges. Le premier a tendance à prendre des dégâts lorsque vous vous battez, ce qui fait qu’au bout d’un moment il devient inutilisable. A vous alors de toute faire pour en trouver un autre. Et les recharges s’usent évidemment avec le temps : une jauge sur votre montre vous permettra de connaître le temps qu’il vous reste avant de devoir en changer. Votre montre servira également à connaitre votre niveau de discrétion (utile lors de la traversée d’une station ennemie ou en surface pour éviter le combat avec les ours mutants qui se baladent).

Le jeu est donc purement solo, pas de multi-joueurs dans les tunnels, pourtant un mode horde où l’on devrait défendre une station des assauts de monstres et de bad guys aurait pû être le bienvenu. Techniquement le soft est vraiment magnifique, et les environnements restreints n’étant pas forcément gourmands au départ se retrouvent remplis d’une foultitude de détails plus ou moins glauques. Lors des balades en extérieurs, on ne peut que faire le parallèle avec le Washington post-apocalyptique de Fallout 3, et la comparaison est difficile tant les deux jeux sont au coude-à-coude !

Metro 2033 est un FPS solo de haute volée, avec une réalisation sans faille, une narration énorme et un solide scénario. Une fois commencé, on lâche difficilement l’aventure d’Artyom, tant il nous tarde continuellement d’en savoir sur cette univers si détaillé. Personnellement, je me jetterais sur le bouquin pour en apprendre encore un peu plus, mais ce jeu est clairement un must have pour les fans de ce genre. Pour les autres, il est également chaudement recommandé de lui donner une chance !

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Une narration et un scénario très travaillés
Une réalisation sans faille

Les –
Pas de mode multi-joueurs

Testé sur : PC
Également disponible sur : Xbox 360

Si vous êtes, comme moi, fans des FPS solo très immersifs et dotés de scénarios béton, vous avez surement dû vous intéresser il y a un moment déjà à Metro 2033… Alors évidemment, quand j’ai eu la possibilité de le tester en avant première, je n’ai pas voulu écrire le test sans en avoir vu le bout. M’enfin le voici, en espérant que cela vous donnera envie (ou pas !).

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Metro 2033 est l’adaptation du roman éponyme de Dmitry Glukovsky . En Russie, le roman s’est tout de même vendu à plus de 400 000 exemplaires, et il devrait d’ailleurs sortir chez nous dans le courant de l’année. Le roman (et donc le jeu) se déroule en 2033, la civilisation telle que nous la connaissons a cessée d’exister suite à une guerre nucléaire qui s’est déroulée en 2011. Le personnage principal du titre Artyom, 22 ans, est né directement sous les bombes. Il fait partie des rares survivants, qui sont maintenant installés dans les tunnels du métro Moscovite. La vie à la surface étant impossible, du fait des radiations qui polluent la terre et les eaux, mais aussi par les créatures mutantes qui ont pris possession des villes détruites. Ce qui commence comme une mission pour lutter contre un ennemi plus intelligent que la masse de base des mutants qui se balade dans les couloirs du métro, se poursuit comme une quête initiatique pour Artyom, qui découvrira bientôt qu’il n’est pas tout à fait comme les autres, et que ce qui affecte parfois ses congénaires, comme des pertes de connaissance, ne l’affecte pas lui. En échange de ce “don”, Artyom souffre de visions de créatures d’ombres, qui semblent parfois l’aider, d’autre fois l’enfoncer encore plus dans l’horreur.

Le monde du dessous semble avoir mis à profit les vingt ans qui le sépare de la guerre nucléaire pour recréer un semblant d’organisation. Comme d’habitude l’homme retombe dans ses mauvais travers assez vite, et des factions apparaissent (des nazis, des Soviets, etc., bref tout ce que l’humanité compte de joyeux drilles quoi :p), qu’il vous faudra dézinguer à la chaîne. La tâche ne sera pas forcément aisée, puisque du côté des armes et du matériel que vous pourrez vous procurer, il va falloir vous attendre à devoir faire avec un amalgame de vieilleries fonctionnant plutôt mal. La monnaie d’échange de cet univers post apocalyptique étant les munitions, il faudra de plus faire face à pas mal d’arnaques, et à des armes à l’allure parfois alléchante, mais à l’efficacité proche de zéro. Parfois, au détour d’un tunnel, ou lors des rares escapades en surface, vous devrez gérer une autre ressource : votre masque à gaz et ses recharges. Le premier a tendance à prendre des dégâts lorsque vous vous battez, ce qui fait qu’au bout d’un moment il devient inutilisable. A vous alors de toute faire pour en trouver un autre. Et les recharges s’usent évidemment avec le temps : une jauge sur votre montre vous permettra de connaître le temps qu’il vous reste avant de devoir en changer. Votre montre servira également à connaitre votre niveau de discrétion (utile lors de la traversée d’une station ennemie ou en surface pour éviter le combat avec les ours mutants qui se baladent).

Le jeu est donc purement solo, pas de multi-joueurs dans les tunnels, pourtant un mode horde où l’on devrait défendre une station des assauts de monstres et de bad guys aurait pû être le bienvenu. Techniquement le soft est vraiment magnifique, et les environnements restreints n’étant pas forcément gourmands au départ se retrouvent remplis d’une foultitude de détails plus ou moins glauques. Lors des balades en extérieurs, on ne peut que faire le parallèle avec le Washington post-apocalyptique de Fallout 3, et la comparaison est difficile tant les deux jeux sont au coude-à-coude !

Metro 2033 est un FPS solo de haute volée, avec une réalisation sans faille, une narration énorme et un solide scénario. Une fois commencé, on lâche difficilement l’aventure d’Artyom, tant il nous tarde continuellement d’en savoir sur cette univers si détaillé. Personnellement, je me jetterais sur le bouquin pour en apprendre encore un peu plus, mais ce jeu est clairement un must have pour les fans de ce genre. Pour les autres, il est également chaudement recommandé de lui donner une chance !

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Une narration et un scénario très travaillés
Une réalisation sans faille

Les –
Pas de mode multi-joueurs

Testé sur : PC
Également disponible sur : Xbox 360

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