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Le Kindle s’ouvre un peu plus

En fait, on vous en avait un peu parlé hier ICI, mais j’y reviens juste pour vous donner quelque précision en plus. C’est donc la semaine…

En fait, on vous en avait un peu parlé hier ICI, mais j’y reviens juste pour vous donner quelque précision en plus. C’est donc la semaine dernière qu’Amazon.com, a annoncé officiellement que les auteurs et éditeurs du monde entier pouvaient désormais utiliser le self-service de la plate-forme de texte numérique du Kindle, le Digital Text Platform (DTP) afin de télécharger et de vendre sur le KindleStore des livres en anglais, en allemand et en français. En effet, jusqu’à présent, le DTP n’était disponible que pour les auteurs et les éditeurs basés aux Etats-Unis. Voilà, donc si vous voulez en savoir plus, c’est par ICI. D’autres options linguistiques seront ajoutées dans les mois à venir sur le DTP.

« Nous sommes ravis de rendre accessible le libre-servic e de la plate-forme de texte numérique du Kindle aux auteurs et éditeurs du monde entier », a déclaré Russ Grandinetti, Vice President, Kindle Content. « Désormais, tout propriétaire de contenu peut proposer des livres en langue anglaise, allemande ou française au nombre croissant d’utilisateurs du Kindle dans le monde. »

Pour ce qui est des revenus, l’auteur récupèrera 35% de la vente, ça peut sembler juste, surtout quant on le compare au modèle AppStore chez Apple mais d’après ce que j’ai pu lire sur les forums, c’est quand même mieux que via papier où c’est de l’ordre de 10/12%.

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3 commentaires
  1. Bonjour — juste pour comprendre la portée de cette nouvelle: cela signifie-t-il que les éditeurs français peuvent désormais proposer à la vente des livres en français pour le Kindle?

  2. 35% par rapport à 10/12% peut sembler très très intéressant !

    Néanmoins, la différence (et elle est de taille), réside essentiellement dans l’outil de promotion effectué par la maison d’édition. Mieux vaut vendre 10’000 livres à 10/12% (pour créer un effet boule de neige, ou pour permettre une meilleure pénétration du marché lors de la sortie d’un deuxième ouvrage), que 1’000 avec 35% de marge.

    Maintenant, je ne critique absolument pas la plateforme d’Amazon, qui deviendra certainement un must (à condition que l’ergonomie de l’application continue d’évoluer). Même au contraire, elle pourrait permettre à certaines personnes ne recherchant pas à vivre de leur hobby de néanmoins proposer leurs créations à qui le désire (je pense essentiellement à la famille, les amis, etc…).

  3. C’est ce que je comprend, ca peut permettre aux jeunes écrivains en mal d’éditeurs de faire un peu parler d’eux c’est une très bonne chose je trouve

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