En fait, d’après le juge en charge de l’affaire, on ne peut pas assimiler les linkers à du piratage, étant donné qu’ils sont utilisés par des développeurs indés pour développer des hombrews. De la même façon, le juge a confirmé qu’il était érroné de faire le rapprochement systématique entre linkers et piratage…
Mais l’affaire est certainement loin d’être bouclée. Selon l’avocat de Nintendo France contacté par le site 01Net, “Nintendo est très déçu mais va poursuivre son action.”
via maxconsole
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