L’industrie du jeu a réagit assez négativement à cette annonce, craignant un étouffement de la créativité au profit de l’assurance d’avoir un jeu fonctionnel.
Puisque de fait, ce changement de statut des jeux (et tous les éditeurs de logiciels il me semble) permettrait à un consommateur d’avoir son jeu remboursé en cas de bug ou autre crash, rendant la situation compliquée, ne serait-ce que pour détecter les abus.
De fait, un avocat consultant pour Joystiq a soulevé que cette proposition serait inutile de part l’existence de patchs et mise à jour et, d’autre part, que le marché rend les jeux garantie de-facto: si un jeu est truffé de bug, le joueur réfléchira à deux fois avant de racheter un jeu de ce studio de développement… Pas faux.
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