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Test : Empire : Total War

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Retour au XVIII siècle pour cet Empire : Total War attendu comme le Messie par une communauté de fans aux abois. Inutile de faire durer le…

Retour au XVIII siècle pour cet Empire : Total War attendu comme le Messie par une communauté de fans aux abois. Inutile de faire durer le suspense durant trois plombes : The Creative Assembly a réussi une fois de plus un sacré tour de force…

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On ne change pas une recette qui fonctionne (à la perfection serions-nous tentés de dire…), et les développeurs de chez The Creative Assembly l’ont bien compris. Cet Empire : Total War réutilise donc le fameux mélange entre phases de gestion au tour à tour et batailles en temps réel, en nous plongeant cette fois en plein XVIIIème siècle. Une période riche en évènements, et ce n’est rien de le dire. Et cette période, parlons-en justement ! On pourra donc attaquer les festivités par un tutorial déguisé en une mini-campagne retraçant plus ou moins la “naissance” des Etats Unis. Hypra léchée, bénéficiant d’une mise en scène qui tient très bien la route, et nous permettant ainsi d’assimiler les mécanismes de jeu d’une façon des plus agréables qui soit. A côté de ça, vous pourrez ensuite vous frotter au gros morceau du jeu : une campagne principale dantesque que vous pourrez mener à la tête de l’une des 11 nations présentes dans le jeu. Et c’est là que ça devient vraiment intéressant, même si il est inutile de s’attendre à une révolution au sein des mécanismes de jeu. Il en en effet cette fois encore question d’étendre son empire. Point. On saluera simplement la mise en place de batailles navales, qui rajoutent encore quelques grammes de stratégie au jeu. Libre à vous d’opter dans ces phases de jeu pour une stratégie de capture ou de destruction. Et pour les puristes, sachez qu’il est désormais possible de construire des bâtiments dans la plupart des villes, et plus seulement dans les capitales, comme ce fut le cas auparavant. C’est toujours bon à prendre.

Mais n’allez pas croire que le jeu ne propose qu’un enchaînement de batailles dans le but de conquérir encore et encore. Au contraire, il offre en vérité une dimension stratégique carrément bluffante, et l’arrivée d’un arbre technologique vous permettant de développer la technologie dans des domaines très variés vous autorisera en fait à gérer votre approche de la guerre comme bon vous semble. En plus de ça, vous aurez à enfiler le costume du diplomate de service, puisque vous devrez gérer les relations avec les autres nations. Et rivaliser d’inventivité pour parvenir à vos fins, accessoirement, tant l’I.A. pourra vous donner du fil à retordre sur ce plan. A vous donc d’étendre votre empire et de le pérenniser. Plus facile à dire qu’à faire ! Mais quelques ombres subsistent au tableau de cet Empire : Total War. A commencer par le manque d’optimisation général du jeu. Alors certes, les batailles sont un vrai régal, autant qu’en terme de gameplay que de rendu visuel. Mais sachez que pour profiter pleinement des prouesses graphiques réalisés par The Creative Assembly, vous devrez obligatoirement joue sur une machine surgonflée (genre config’ VRAIMENT musclée). Ah, et sachez pour finir qu’une fois encore, le passage vers Steam se révèlera obligatoire. Dommage…

Un nouveau mastodonte du STR que cet Empire : Total War, tout simplement. En renforçant encore un peu plus des mécanismes de jeu pourtant huilés à la perfection, The Creative Assembly nous offre là un soft qui saura occuper des heures et des heures durant. Reste qu’il vous faudra une bécane qui tient (très bien) la route pour vraiment profiter de la richesse graphique du jeu.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +

  • Des mécanismes maîtrisés
  • Durée de vie impressionnante
  • L’ajout des batailles navales
  • Les –

  • PC haut de gamme obligatoire
  • Obligation de passer par Steam
  • Mulitjoueur moins passionnant que la campagne…
  • Retour au XVIII siècle pour cet Empire : Total War attendu comme le Messie par une communauté de fans aux abois. Inutile de faire durer le suspense durant trois plombes : The Creative Assembly a réussi une fois de plus un sacré tour de force…

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    On ne change pas une recette qui fonctionne (à la perfection serions-nous tentés de dire…), et les développeurs de chez The Creative Assembly l’ont bien compris. Cet Empire : Total War réutilise donc le fameux mélange entre phases de gestion au tour à tour et batailles en temps réel, en nous plongeant cette fois en plein XVIIIème siècle. Une période riche en évènements, et ce n’est rien de le dire. Et cette période, parlons-en justement ! On pourra donc attaquer les festivités par un tutorial déguisé en une mini-campagne retraçant plus ou moins la “naissance” des Etats Unis. Hypra léchée, bénéficiant d’une mise en scène qui tient très bien la route, et nous permettant ainsi d’assimiler les mécanismes de jeu d’une façon des plus agréables qui soit. A côté de ça, vous pourrez ensuite vous frotter au gros morceau du jeu : une campagne principale dantesque que vous pourrez mener à la tête de l’une des 11 nations présentes dans le jeu. Et c’est là que ça devient vraiment intéressant, même si il est inutile de s’attendre à une révolution au sein des mécanismes de jeu. Il en en effet cette fois encore question d’étendre son empire. Point. On saluera simplement la mise en place de batailles navales, qui rajoutent encore quelques grammes de stratégie au jeu. Libre à vous d’opter dans ces phases de jeu pour une stratégie de capture ou de destruction. Et pour les puristes, sachez qu’il est désormais possible de construire des bâtiments dans la plupart des villes, et plus seulement dans les capitales, comme ce fut le cas auparavant. C’est toujours bon à prendre.

    Mais n’allez pas croire que le jeu ne propose qu’un enchaînement de batailles dans le but de conquérir encore et encore. Au contraire, il offre en vérité une dimension stratégique carrément bluffante, et l’arrivée d’un arbre technologique vous permettant de développer la technologie dans des domaines très variés vous autorisera en fait à gérer votre approche de la guerre comme bon vous semble. En plus de ça, vous aurez à enfiler le costume du diplomate de service, puisque vous devrez gérer les relations avec les autres nations. Et rivaliser d’inventivité pour parvenir à vos fins, accessoirement, tant l’I.A. pourra vous donner du fil à retordre sur ce plan. A vous donc d’étendre votre empire et de le pérenniser. Plus facile à dire qu’à faire ! Mais quelques ombres subsistent au tableau de cet Empire : Total War. A commencer par le manque d’optimisation général du jeu. Alors certes, les batailles sont un vrai régal, autant qu’en terme de gameplay que de rendu visuel. Mais sachez que pour profiter pleinement des prouesses graphiques réalisés par The Creative Assembly, vous devrez obligatoirement joue sur une machine surgonflée (genre config’ VRAIMENT musclée). Ah, et sachez pour finir qu’une fois encore, le passage vers Steam se révèlera obligatoire. Dommage…

    Un nouveau mastodonte du STR que cet Empire : Total War, tout simplement. En renforçant encore un peu plus des mécanismes de jeu pourtant huilés à la perfection, The Creative Assembly nous offre là un soft qui saura occuper des heures et des heures durant. Reste qu’il vous faudra une bécane qui tient (très bien) la route pour vraiment profiter de la richesse graphique du jeu.

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les +

  • Des mécanismes maîtrisés
  • Durée de vie impressionnante
  • L’ajout des batailles navales
  • Les –

  • PC haut de gamme obligatoire
  • Obligation de passer par Steam
  • Mulitjoueur moins passionnant que la campagne…
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