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Test : Grand Theft Auto IV : The Lost and Damned

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Vous aviez connu Liberty City avec Niko Bellic il y a presque un an. Bien. Vous allez désormais pouvoir la redécouvrir avec Johnny Klebitz et sa…

Vous aviez connu Liberty City avec Niko Bellic il y a presque un an. Bien. Vous allez désormais pouvoir la redécouvrir avec Johnny Klebitz et sa bande de bikers déchainés. Et croyez-le ou non, ça change la donne de façon radicale. De là à dire que Microsoft a flairé le bon coup avec ce DLC exclusif à sa bécane…

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Exclusif à la Xbox 360, ce contenu téléchargeable facturé la bagatelle de 1600 MS Points étonne. Par son ambition tout d’abord, clairement plus grande que celle d’un DLC classique, puisqu’il vous faudra une dizaine d’heures pour en voir le bout. Par sa construction ensuite, puisque ce nouveau chapitre joue la carte de l’entraide. Catapulté dans la peau de Johnny Klebitz, un biker dont le leitmotiv pourrait être « j’éclate donc je suis », vous serez constamment épaulés par votre gang, ce qui offre au final une approche totalement opposée au « seul contre tous » proposé par Niko Bellic. Une nouveauté à double tranchant tout de même, qui vous obligera à prendre soin de vos ouailles (comprenez : éviter de les laisser sur le carreau lors d’un gunfight…), tout en gérant leur expérience du mieux que vous le pourrez. Histoire de vous tailler des alliés efficaces… De la même façon, les petits gars de Rockstar ont décidés de proposer des missions bien plus longues qu’auparavant, agrémentées de checkpoints, histoire de ne pas obliger le joueur à tout se taper d’un coup. Bien vu.

Et les missions justement, parlons-en. Alors certes, les objectifs imposés restent dans la verve de ceux du GTA IV original. En résumé : ça bourrine sec, et ça ne réfléchi pas souvent (jamais ?) Par contre, l’univers vraiment très travaillé aide à faire passer la pilule sans soucis, grâce à une mise en scène encore une fois irréprochable, plantant d’emblée un background solide, qui donne à chaque fois envie d’en voir un peu plus… Cerise sur le gâteau, The Lost and Damned apporte dans sa besace quelques modes de jeu en ligne supplémentaires. Pas de quoi révolutionner le genre certes, mais c’est toujours ça de pris.

Non vraiment, difficile de faire la fine bouche face à ce DLC certes assez cherros, mais qui vient offrir une bonne dizaine d’heures de GTA IV en supplément, portées une fois encore par un background vraiment léché. L’art et la manière selon Rockstar de vous pousser à la consommation…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +

  • Une brochette de personnages travaillée
  • Des nouveautés appréciables pour le multijoueur
  • Durée de vie plus qu’honorable
  • Les –

  • Les objectifs des missions, toujours aussi peu variés…
  • Vous aviez connu Liberty City avec Niko Bellic il y a presque un an. Bien. Vous allez désormais pouvoir la redécouvrir avec Johnny Klebitz et sa bande de bikers déchainés. Et croyez-le ou non, ça change la donne de façon radicale. De là à dire que Microsoft a flairé le bon coup avec ce DLC exclusif à sa bécane…

    test_lost_damned_08

    Exclusif à la Xbox 360, ce contenu téléchargeable facturé la bagatelle de 1600 MS Points étonne. Par son ambition tout d’abord, clairement plus grande que celle d’un DLC classique, puisqu’il vous faudra une dizaine d’heures pour en voir le bout. Par sa construction ensuite, puisque ce nouveau chapitre joue la carte de l’entraide. Catapulté dans la peau de Johnny Klebitz, un biker dont le leitmotiv pourrait être « j’éclate donc je suis », vous serez constamment épaulés par votre gang, ce qui offre au final une approche totalement opposée au « seul contre tous » proposé par Niko Bellic. Une nouveauté à double tranchant tout de même, qui vous obligera à prendre soin de vos ouailles (comprenez : éviter de les laisser sur le carreau lors d’un gunfight…), tout en gérant leur expérience du mieux que vous le pourrez. Histoire de vous tailler des alliés efficaces… De la même façon, les petits gars de Rockstar ont décidés de proposer des missions bien plus longues qu’auparavant, agrémentées de checkpoints, histoire de ne pas obliger le joueur à tout se taper d’un coup. Bien vu.

    Et les missions justement, parlons-en. Alors certes, les objectifs imposés restent dans la verve de ceux du GTA IV original. En résumé : ça bourrine sec, et ça ne réfléchi pas souvent (jamais ?) Par contre, l’univers vraiment très travaillé aide à faire passer la pilule sans soucis, grâce à une mise en scène encore une fois irréprochable, plantant d’emblée un background solide, qui donne à chaque fois envie d’en voir un peu plus… Cerise sur le gâteau, The Lost and Damned apporte dans sa besace quelques modes de jeu en ligne supplémentaires. Pas de quoi révolutionner le genre certes, mais c’est toujours ça de pris.

    Non vraiment, difficile de faire la fine bouche face à ce DLC certes assez cherros, mais qui vient offrir une bonne dizaine d’heures de GTA IV en supplément, portées une fois encore par un background vraiment léché. L’art et la manière selon Rockstar de vous pousser à la consommation…

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les +

  • Une brochette de personnages travaillée
  • Des nouveautés appréciables pour le multijoueur
  • Durée de vie plus qu’honorable
  • Les –

  • Les objectifs des missions, toujours aussi peu variés…
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