Miss Croft est en forme (sans mauvais jeu de mots…), et nous le prouve une fois de plus avec ce nouveau volet sombrement intitulé Underworld, n’hésitant pas une seconde à reprendre une recette aussi classique qu’efficace.
Serions-nous face à une nouvelle trilogie plus ou moins avouée et estampillée Croft ? Possible, si l’on se tourne vers les deux précédents volets de la sage, Legend et Anniversary, dont cet Underworld reprend les codes et une partie de la trame sans vergogne. Enfin, on laissera soigneusement le scénario de côté, toujours aussi prévisible, pour se recentrer sur des aspects un peu plus parlants. A commencer par l’aspect graphique, bluffant dans le sens ou ce volet pose clairement les deux pieds dans la HD. Les paysages sont souvent beaux, variés, et affichent bien souvent un soin qui pourra rendre jaloux pas mal de productions concurrentes (et je ne cite personne…), malgré quelques bugs et soucis de caméra inhérents à la série. Rien de grave, toutefois…
Inutile donc d’espérer tirer un quelconque plaisir de cette aventure si vous avez toujours été réfractaire à Tomb Raider. La recette n’a pas changée d’un iota, et les niveaux souvent gigantesques à parcourir, bourrés de switchs tordus et de corniches bien cachées, vous demanderont bien souvent, patience, réflexion et habilité pour pouvoir être bouclés. Même si les développeurs ont intégré un cahier d’aide, sensé vous aguiller au cas où vous seriez en larmes devant votre écran. Mais Lara est désormais bien plus docile (comprenez : si vous mourez, c’est UNIQUEMENT de votre faute…), dotée de quelques mouvements supplémentaires et n’hésitant plus à utiliser moto ou sous-marin pour arriver à ses fins. Pour parler de la durée de vie, malgré les 7 zones à explorer, les habitués pourront mettre une dizaine d’heures à boucler le tout. 15 heures en ratissant large dirons-nous…
Mais c’est un fait : la série n’a jamais autant brillée depuis le retour de Crystal Dynamics aux commandes, et ce n’est pas ce volet qui me fera mentir. Classique, mais efficace, je vous le disais…
Le verdict ?
Les +
Les –
Serions-nous face à une nouvelle trilogie plus ou moins avouée et estampillée Croft ? Possible, si l’on se tourne vers les deux précédents volets de la sage, Legend et Anniversary, dont cet Underworld reprend les codes et une partie de la trame sans vergogne. Enfin, on laissera soigneusement le scénario de côté, toujours aussi prévisible, pour se recentrer sur des aspects un peu plus parlants. A commencer par l’aspect graphique, bluffant dans le sens ou ce volet pose clairement les deux pieds dans la HD. Les paysages sont souvent beaux, variés, et affichent bien souvent un soin qui pourra rendre jaloux pas mal de productions concurrentes (et je ne cite personne…), malgré quelques bugs et soucis de caméra inhérents à la série. Rien de grave, toutefois…
Inutile donc d’espérer tirer un quelconque plaisir de cette aventure si vous avez toujours été réfractaire à Tomb Raider. La recette n’a pas changée d’un iota, et les niveaux souvent gigantesques à parcourir, bourrés de switchs tordus et de corniches bien cachées, vous demanderont bien souvent, patience, réflexion et habilité pour pouvoir être bouclés. Même si les développeurs ont intégré un cahier d’aide, sensé vous aguiller au cas où vous seriez en larmes devant votre écran. Mais Lara est désormais bien plus docile (comprenez : si vous mourez, c’est UNIQUEMENT de votre faute…), dotée de quelques mouvements supplémentaires et n’hésitant plus à utiliser moto ou sous-marin pour arriver à ses fins. Pour parler de la durée de vie, malgré les 7 zones à explorer, les habitués pourront mettre une dizaine d’heures à boucler le tout. 15 heures en ratissant large dirons-nous…
Mais c’est un fait : la série n’a jamais autant brillée depuis le retour de Crystal Dynamics aux commandes, et ce n’est pas ce volet qui me fera mentir. Classique, mais efficace, je vous le disais…
Le verdict ?
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