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Impressions : Mirror’s Edge

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Qui l’eut cru ? La mode des yamakazis (reprise cette fois via un modèle bien plus classieux) renaît à travers Mirror’s Edge, le prochain titre de…

Qui l’eut cru ? La mode des yamakazis (reprise cette fois via un modèle bien plus classieux) renaît à travers Mirror’s Edge, le prochain titre de Dice, qui n’avait pas manqué de scotcher toute une communauté de joueurs lors de son annonce officielle. Imaginez : un FPS très aérien où il est question (entre autre) de sauter de toits en toits… Nous avons ainsi pu essayer la version de démonstration présente Porte de Versailles (le même niveau déjà proposé lors de la Games Convention en août dernier). Comme promis ça bouge et ça remue dans tout les sens… Notre estomac tiendra t-il le coup ?

Après quelques minutes de jeu, on comprend vite que Mirror’s Edge pourrait très bien être comparé à Sonic sur plusieurs points. Certes, ça pourrait sembler extrême, et pourtant, même si Faith, l’héroïne du jeu est plus charmante que le hérisson bleu, le principe de chaque niveau s’avère similaire sous certains aspects. En effet, les développeurs nous ont intelligemment livré une prise en main extrêmement simple, afin d’offrir une sensation de vitesse jamais vraiment bridée. Ainsi, le stick analogique sert à courir et les gâchettes à effectuer quelques actions comme sauter, courir sur les murs ou glisser au sol. Une fois les roulades nécessaires à la réception des sauts les plus osés maitrisés, il est tout simplement jouissif d’enchainer les sauts sans filet à 300 mètres au dessus du vide. Et si le trailer avait soulevé quelques doutes chez certains quant à leur capacité à ne pas vomir leur petit déjeuner dès la première partie, nous pouvons vous assurer qu’une fois manette en main, ça roule ! Malins, les développeurs ont ajouté un petit point bleu au centre de l’écran afin que votre vision s’y concentre et ne vous fasse pas avoir de haut le cœur. Une vielle technique de danseur à ce qu’il paraitrait…

Toutefois, on aurait put croire que DICE allait nous proposer des environnements ouverts. Raté, il faudra suivre des chemins balisés. Le jeu repose en effet sur la recherche d’éléments de couleur rouge, sur lesquels vous pourrez interagir et ainsi faire les plus grandes acrobaties. Impossible de se perdre dans une zone de jeu, même si au début elles pourraient paraissent gigantesques. Ca peut paraitre frustrant au premier abord, mais en réalité cette limitation permet aux créateurs d’imposer un rythme et une certaine fluidité dans les déplacements du joueur, qui participent énormément au plaisir de jeu. Un vrai bonheur que de parcourir ces buildings d’un blanc immaculé et couvert de vitres sponsorisées par Monsieur Propre…

Mais Mirror’s Edge, ce n’est pas seulement une balade de santé aérienne. Et en bon membre de la résistance locale que vous êtes, vous vous rendez vite compte que les forces de l’ordre seront aux aguets pour vous stopper dans votre course. Il faudra donc faire de votre mieux pour leur mettre une petite balayette ou leur piquer leur arme au passage. Mirror’s Edge n’étant pas un titre d’action et Faith ne maitrisant pas l’utilisation d’arme à feu, votre flingue ne vous servira pas à grand chose si ce n’est à vous permettre de faire peur à vos assaillant le temps de filer à toute vitesse vers le prochain toit…

Mirror’s Edge s’avère être un titre surprenant sur de nombreux points. Graphismes léchés, maniabilité exemplaire et sensations jubilatoires semblent répondre à l’appel. Reste à voir si le challenge et les parcours proposés réussiront à être assez nombreux et diversifiés afin de ne pas lasser le joueur…

(Article rédigé par Yannick, fan de saut à l’élastique à ses heures perdues)

Qui l’eut cru ? La mode des yamakazis (reprise cette fois via un modèle bien plus classieux) renaît à travers Mirror’s Edge, le prochain titre de Dice, qui n’avait pas manqué de scotcher toute une communauté de joueurs lors de son annonce officielle. Imaginez : un FPS très aérien où il est question (entre autre) de sauter de toits en toits… Nous avons ainsi pu essayer la version de démonstration présente Porte de Versailles (le même niveau déjà proposé lors de la Games Convention en août dernier). Comme promis ça bouge et ça remue dans tout les sens… Notre estomac tiendra t-il le coup ?

Après quelques minutes de jeu, on comprend vite que Mirror’s Edge pourrait très bien être comparé à Sonic sur plusieurs points. Certes, ça pourrait sembler extrême, et pourtant, même si Faith, l’héroïne du jeu est plus charmante que le hérisson bleu, le principe de chaque niveau s’avère similaire sous certains aspects. En effet, les développeurs nous ont intelligemment livré une prise en main extrêmement simple, afin d’offrir une sensation de vitesse jamais vraiment bridée. Ainsi, le stick analogique sert à courir et les gâchettes à effectuer quelques actions comme sauter, courir sur les murs ou glisser au sol. Une fois les roulades nécessaires à la réception des sauts les plus osés maitrisés, il est tout simplement jouissif d’enchainer les sauts sans filet à 300 mètres au dessus du vide. Et si le trailer avait soulevé quelques doutes chez certains quant à leur capacité à ne pas vomir leur petit déjeuner dès la première partie, nous pouvons vous assurer qu’une fois manette en main, ça roule ! Malins, les développeurs ont ajouté un petit point bleu au centre de l’écran afin que votre vision s’y concentre et ne vous fasse pas avoir de haut le cœur. Une vielle technique de danseur à ce qu’il paraitrait…

Toutefois, on aurait put croire que DICE allait nous proposer des environnements ouverts. Raté, il faudra suivre des chemins balisés. Le jeu repose en effet sur la recherche d’éléments de couleur rouge, sur lesquels vous pourrez interagir et ainsi faire les plus grandes acrobaties. Impossible de se perdre dans une zone de jeu, même si au début elles pourraient paraissent gigantesques. Ca peut paraitre frustrant au premier abord, mais en réalité cette limitation permet aux créateurs d’imposer un rythme et une certaine fluidité dans les déplacements du joueur, qui participent énormément au plaisir de jeu. Un vrai bonheur que de parcourir ces buildings d’un blanc immaculé et couvert de vitres sponsorisées par Monsieur Propre…

Mais Mirror’s Edge, ce n’est pas seulement une balade de santé aérienne. Et en bon membre de la résistance locale que vous êtes, vous vous rendez vite compte que les forces de l’ordre seront aux aguets pour vous stopper dans votre course. Il faudra donc faire de votre mieux pour leur mettre une petite balayette ou leur piquer leur arme au passage. Mirror’s Edge n’étant pas un titre d’action et Faith ne maitrisant pas l’utilisation d’arme à feu, votre flingue ne vous servira pas à grand chose si ce n’est à vous permettre de faire peur à vos assaillant le temps de filer à toute vitesse vers le prochain toit…

Mirror’s Edge s’avère être un titre surprenant sur de nombreux points. Graphismes léchés, maniabilité exemplaire et sensations jubilatoires semblent répondre à l’appel. Reste à voir si le challenge et les parcours proposés réussiront à être assez nombreux et diversifiés afin de ne pas lasser le joueur…

(Article rédigé par Yannick, fan de saut à l’élastique à ses heures perdues)

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