Après Dragon Quest Monsters : Joker en amuse gueule, voici enfin un véritable représentant de la série des Dragon Quest, saga qui a trop longtemps boudé notre continent. Bonne occasion pour Square Enix de gagner un peu d’argent avec ses vieilleries, le jeu peut-il vraiment trouver son public aujourd’hui ? Pour être franc, ce RPG est d’une autre époque. Et c’est un vrai bonheur.
Pas d’innovations superflues donc pour ce remake DS qui auraient rendu le jeu compliqué ou ennuyeux. Simplement des attaques physiques, de la magie et des objets. Le système est primaire et bien rôdé, et nous sommes face ici à un RPG old-school. Old-school, mais accessible, à contrario par exemple du récent Final Fantasy IV, qui en rebutera plus d’un. Le tout est là encore porté par un scénario classique, qui vous obligera (une fois de plus) à sauver le monde.
Mais c’est en fait grâce à sa technique que ce Dragon Quest : L’épopée des Élus se démarque, puisqu’il s’inspire déjà du remake Playstation sorti en 2001, et affiche un joli mélange de décors 3D et de personnages en 2D, qui arrivent à installer une ambiance palpable, qui met vraiment peu de temps à accrocher le joueur. La Toriyama Touch n’y est d’ailleurs pas étrangère, et on reconnait aisément la patte du dessinateur.
En bref, même s’il semble avoir voyagé à travers le temps, ce titre s’affirme encore à l’heure actuelle comme une référence, constituant à la fois une bonne initiation aux RPG « à l’ancienne » pour les plus jeunes, et replongeant les autres dans une époque oubliée, mais qu’il est parfois si bon de se remémorer…
Le verdict ?
Les + :
Les – :
Pas d’innovations superflues donc pour ce remake DS qui auraient rendu le jeu compliqué ou ennuyeux. Simplement des attaques physiques, de la magie et des objets. Le système est primaire et bien rôdé, et nous sommes face ici à un RPG old-school. Old-school, mais accessible, à contrario par exemple du récent Final Fantasy IV, qui en rebutera plus d’un. Le tout est là encore porté par un scénario classique, qui vous obligera (une fois de plus) à sauver le monde.
Mais c’est en fait grâce à sa technique que ce Dragon Quest : L’épopée des Élus se démarque, puisqu’il s’inspire déjà du remake Playstation sorti en 2001, et affiche un joli mélange de décors 3D et de personnages en 2D, qui arrivent à installer une ambiance palpable, qui met vraiment peu de temps à accrocher le joueur. La Toriyama Touch n’y est d’ailleurs pas étrangère, et on reconnait aisément la patte du dessinateur.
En bref, même s’il semble avoir voyagé à travers le temps, ce titre s’affirme encore à l’heure actuelle comme une référence, constituant à la fois une bonne initiation aux RPG « à l’ancienne » pour les plus jeunes, et replongeant les autres dans une époque oubliée, mais qu’il est parfois si bon de se remémorer…
Le verdict ?
Les + :
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