La situation est critique et, en quelques sortes, vous êtes le dernier espoir de Pacific City. Voilà en quelques mots comment résumé ce qui vous attend dans CrackDown.
La capitale est sous le contrà´le de 3 organisations criminelles toutes plus violentes les unes que les autres : les Los Muertos, les Volk et la corporation Shai-Gen.
L’agence à , de ce fait, recyclé les travaux controversés du Dr Baltazar Czernenko (scientifique marginal et faisant maintenant partie de la Shai-Gen) afin de créer des Agents, tels que vous, capables de dépasser les limites humaines en termes d’évolution et régénération. La seule consolation face au boulot gargantuesque qui vous attend est que la mort n’aura jamais de prise sur vous car lorsque votre enveloppe aura épuisée ses ressources, vous pourrez l’abandonner afin d’en revêtir une nouvelle.
Votre mission est la même que tous les autres agents : démanteler ces 3 gangs et éliminer leurs chefs afin de ramener l’ordre et la tranquillité à Pacific City. Ca ne sera pas de tout repos mais vous pourrez compter sur l’Agence pour vous fournir toutes les ressources à sa disposition.
En mode Campagne, il vous faudra éliminer les 21 membres-clés de ces fameux gangs un par un. Plus ils sont placés « haut » dans la hiérarchie, mieux c’est, mais il faut savoir qu’un gang est nettoyé et rayé de la carte que lorsque son chef, ses lieutenants et ses membres auront été mis hors circuit.
L’Agence dispose d’archives sur ces 21 sommités du crime, leurs complices connus, leurs activités ainsi que leur localisation probable. Vous pouvez, bien entendu, y accéder via le menu. Vous avez aussi un ATH, radar qui vous indique différents points sur la carte comme les courses de route, de toits, mais aussi la proximité de vos cibles à l’approche de celles-ci. Les 3 véhicules de l’Agence se transformeront également selon votre niveau de compétence.
Vous êtes là pour faire la loi, mais attention ne faite pas trop de dommages collatéraux car sinon vos compétences s’en verront diminuées.
Le point fort de ce jeu est que votre personnage peut évoluer en fonction des orbes qu’il « absorbe ». En effet, vos différents axes d’améliorations sont : agilité, pilotage, explosifs, force, armes à feu. Pour cela il suffit de vous battre au corps à corps, de participer à des courses de rues, de toits, de faire exploser ce qui se présente, etc… A chaque niveau passé, votre personnage subit une modification qui lui permet, selon la compétence accrue, d’être « meilleurs ».
Par exemple les orbes d’agilité vous permettent de courir plus vite et de sauter plus haut et plus loin et ainsi, vous balader de toits en toits (ce qui est vraiment sympa).
J’allai oublier la musique, assez rythmée par moments, elle reste anecdotique et même parfois très particulière.
En conclusion, je dirai que CrackDown fait partie de ces OVNIS dont on ne sait jamais s’il plaira ou non tant que l’on ne l’a pas essayé.
Son esthétisme particulier, son scénario quasi inexistant qui le conduit à se rapprocher d’avantage d’un énorme Beat Them All libre de tout mouvement, sa répétition dans l’action qui peut amener une certaine lassitude, se mettre dans la peau d’un super héros pouvant porter des voitures, sauter d’immeuble en immeuble, faire sa propre loi, etc… bref autant de points qui feront que vous adorerez ou que vous détesterez.
Perso, j’aime vraiment ce titre
Note : 7,5/10
La situation est critique et, en quelques sortes, vous êtes le dernier espoir de Pacific City. Voilà en quelques mots comment résumé ce qui vous attend dans CrackDown.
La capitale est sous le contrà´le de 3 organisations criminelles toutes plus violentes les unes que les autres : les Los Muertos, les Volk et la corporation Shai-Gen.
L’agence à , de ce fait, recyclé les travaux controversés du Dr Baltazar Czernenko (scientifique marginal et faisant maintenant partie de la Shai-Gen) afin de créer des Agents, tels que vous, capables de dépasser les limites humaines en termes d’évolution et régénération. La seule consolation face au boulot gargantuesque qui vous attend est que la mort n’aura jamais de prise sur vous car lorsque votre enveloppe aura épuisée ses ressources, vous pourrez l’abandonner afin d’en revêtir une nouvelle.
Votre mission est la même que tous les autres agents : démanteler ces 3 gangs et éliminer leurs chefs afin de ramener l’ordre et la tranquillité à Pacific City. Ca ne sera pas de tout repos mais vous pourrez compter sur l’Agence pour vous fournir toutes les ressources à sa disposition.
En mode Campagne, il vous faudra éliminer les 21 membres-clés de ces fameux gangs un par un. Plus ils sont placés « haut » dans la hiérarchie, mieux c’est, mais il faut savoir qu’un gang est nettoyé et rayé de la carte que lorsque son chef, ses lieutenants et ses membres auront été mis hors circuit.
L’Agence dispose d’archives sur ces 21 sommités du crime, leurs complices connus, leurs activités ainsi que leur localisation probable. Vous pouvez, bien entendu, y accéder via le menu. Vous avez aussi un ATH, radar qui vous indique différents points sur la carte comme les courses de route, de toits, mais aussi la proximité de vos cibles à l’approche de celles-ci. Les 3 véhicules de l’Agence se transformeront également selon votre niveau de compétence.
Vous êtes là pour faire la loi, mais attention ne faite pas trop de dommages collatéraux car sinon vos compétences s’en verront diminuées.
Le point fort de ce jeu est que votre personnage peut évoluer en fonction des orbes qu’il « absorbe ». En effet, vos différents axes d’améliorations sont : agilité, pilotage, explosifs, force, armes à feu. Pour cela il suffit de vous battre au corps à corps, de participer à des courses de rues, de toits, de faire exploser ce qui se présente, etc… A chaque niveau passé, votre personnage subit une modification qui lui permet, selon la compétence accrue, d’être « meilleurs ».
Par exemple les orbes d’agilité vous permettent de courir plus vite et de sauter plus haut et plus loin et ainsi, vous balader de toits en toits (ce qui est vraiment sympa).
J’allai oublier la musique, assez rythmée par moments, elle reste anecdotique et même parfois très particulière.
En conclusion, je dirai que CrackDown fait partie de ces OVNIS dont on ne sait jamais s’il plaira ou non tant que l’on ne l’a pas essayé.
Son esthétisme particulier, son scénario quasi inexistant qui le conduit à se rapprocher d’avantage d’un énorme Beat Them All libre de tout mouvement, sa répétition dans l’action qui peut amener une certaine lassitude, se mettre dans la peau d’un super héros pouvant porter des voitures, sauter d’immeuble en immeuble, faire sa propre loi, etc… bref autant de points qui feront que vous adorerez ou que vous détesterez.
Perso, j’aime vraiment ce titre
Note : 7,5/10
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