Passer au contenu

Test : CrackDown (X360)

9

La situation est critique et, en quelques sortes, vous êtes le dernier espoir de Pacific City. Voilà  en quelques mots comment résumé ce qui vous attend dans CrackDown. La capitale est sous le contrà´le de 3 organisations criminelles toutes plus violentes les unes que les autres : les Los Muertos, les Volk et la corporation Shai-Gen. L’agence à , de ce fait, recyclé les travaux controversés du Dr Baltazar Czernenko (scientifique marginal et faisant maintenant partie de la Shai-Gen) afin de créer des Agents, tels que vous, capables de dépasser les limites humaines en termes d’évolution et régénération. La seule consolation face au boulot gargantuesque qui vous attend est que la mort n’aura jamais de prise sur vous car lorsque votre enveloppe aura épuisée ses ressources, vous pourrez l’abandonner afin d’en revêtir une nouvelle.

La situation est critique et, en quelques sortes, vous êtes le dernier espoir de Pacific City. Voilà  en quelques mots comment résumé ce qui vous attend dans CrackDown.
La capitale est sous le contrà´le de 3 organisations criminelles toutes plus violentes les unes que les autres : les Los Muertos, les Volk et la corporation Shai-Gen.
L’agence à , de ce fait, recyclé les travaux controversés du Dr Baltazar Czernenko (scientifique marginal et faisant maintenant partie de la Shai-Gen) afin de créer des Agents, tels que vous, capables de dépasser les limites humaines en termes d’évolution et régénération. La seule consolation face au boulot gargantuesque qui vous attend est que la mort n’aura jamais de prise sur vous car lorsque votre enveloppe aura épuisée ses ressources, vous pourrez l’abandonner afin d’en revêtir une nouvelle.


Votre mission est la même que tous les autres agents : démanteler ces 3 gangs et éliminer leurs chefs afin de ramener l’ordre et la tranquillité à  Pacific City. Ca ne sera pas de tout repos mais vous pourrez compter sur l’Agence pour vous fournir toutes les ressources à  sa disposition.

En mode Campagne, il vous faudra éliminer les 21 membres-clés de ces fameux gangs un par un. Plus ils sont placés « haut » dans la hiérarchie, mieux c’est, mais il faut savoir qu’un gang est nettoyé et rayé de la carte que lorsque son chef, ses lieutenants et ses membres auront été mis hors circuit.
L’Agence dispose d’archives sur ces 21 sommités du crime, leurs complices connus, leurs activités ainsi que leur localisation probable. Vous pouvez, bien entendu, y accéder via le menu. Vous avez aussi un ATH, radar qui vous indique différents points sur la carte comme les courses de route, de toits, mais aussi la proximité de vos cibles à  l’approche de celles-ci. Les 3 véhicules de l’Agence se transformeront également selon votre niveau de compétence.
Vous êtes là  pour faire la loi, mais attention ne faite pas trop de dommages collatéraux car sinon vos compétences s’en verront diminuées.

Le point fort de ce jeu est que votre personnage peut évoluer en fonction des orbes qu’il « absorbe ». En effet, vos différents axes d’améliorations sont : agilité, pilotage, explosifs, force, armes à  feu. Pour cela il suffit de vous battre au corps à  corps, de participer à  des courses de rues, de toits, de faire exploser ce qui se présente, etc… A chaque niveau passé, votre personnage subit une modification qui lui permet, selon la compétence accrue, d’être « meilleurs ».
Par exemple les orbes d’agilité vous permettent de courir plus vite et de sauter plus haut et plus loin et ainsi, vous balader de toits en toits (ce qui est vraiment sympa).

  • Cà´té graphisme, c’est assez particulier, un style soigné mélangeant un cell-shading léger (limite pop-art) et une 3D haute en couleur, en gros à§a ressemble à  certains vieux Comics. Personnellement j’accroche bien, mais à§a peut vraiment déplaire. La ville est correctement modélisée, les personnages bougent bien et les petits détails comme les insultes gestuelles ou le sol qui se fissure quand votre perso atterri après un gros saut peaufine le tout.
  • Niveau son, c’est correct. Les explosions et les tirs sont bien rendus, les voix ne sont pas énormément présente puisque seule une personne de l’Agence vous parle (un monologue, puisque vous ne lui répondez même pas). Il y a bien de temps à  autre des insultes de la part des ennemis et des passants qui prennent peur, mais rien de plus.
    J’allai oublier la musique, assez rythmée par moments, elle reste anecdotique et même parfois très particulière.
  • Le gameplay est loin d’être mauvais, le personnage se manipule facilement, la gestion des caméras est plutà´t bonne. Seul point noir : la conduite qui elle est assez délicate à  prendre en main et qui, de plus, est une des compétences les plus longue à  faire évoluer. La gestion des dégà¢ts sur les véhicules est bonne et on en ressent nettement les conséquences.
  • Le mode multijoueurs réside uniquement dans la possibilité d’effectuer les missions avec l’aide d’un ami via le XboX Live. Ca limite le choix mais bon à§a ajoute pas mal de fun à  l’ensemble.
  • En conclusion, je dirai que CrackDown fait partie de ces OVNIS dont on ne sait jamais s’il plaira ou non tant que l’on ne l’a pas essayé.
    Son esthétisme particulier, son scénario quasi inexistant qui le conduit à  se rapprocher d’avantage d’un énorme Beat Them All libre de tout mouvement, sa répétition dans l’action qui peut amener une certaine lassitude, se mettre dans la peau d’un super héros pouvant porter des voitures, sauter d’immeuble en immeuble, faire sa propre loi, etc… bref autant de points qui feront que vous adorerez ou que vous détesterez.
    Perso, j’aime vraiment ce titre

    Note : 7,5/10

    La situation est critique et, en quelques sortes, vous êtes le dernier espoir de Pacific City. Voilà  en quelques mots comment résumé ce qui vous attend dans CrackDown.
    La capitale est sous le contrà´le de 3 organisations criminelles toutes plus violentes les unes que les autres : les Los Muertos, les Volk et la corporation Shai-Gen.
    L’agence à , de ce fait, recyclé les travaux controversés du Dr Baltazar Czernenko (scientifique marginal et faisant maintenant partie de la Shai-Gen) afin de créer des Agents, tels que vous, capables de dépasser les limites humaines en termes d’évolution et régénération. La seule consolation face au boulot gargantuesque qui vous attend est que la mort n’aura jamais de prise sur vous car lorsque votre enveloppe aura épuisée ses ressources, vous pourrez l’abandonner afin d’en revêtir une nouvelle.


    Votre mission est la même que tous les autres agents : démanteler ces 3 gangs et éliminer leurs chefs afin de ramener l’ordre et la tranquillité à  Pacific City. Ca ne sera pas de tout repos mais vous pourrez compter sur l’Agence pour vous fournir toutes les ressources à  sa disposition.

    En mode Campagne, il vous faudra éliminer les 21 membres-clés de ces fameux gangs un par un. Plus ils sont placés « haut » dans la hiérarchie, mieux c’est, mais il faut savoir qu’un gang est nettoyé et rayé de la carte que lorsque son chef, ses lieutenants et ses membres auront été mis hors circuit.
    L’Agence dispose d’archives sur ces 21 sommités du crime, leurs complices connus, leurs activités ainsi que leur localisation probable. Vous pouvez, bien entendu, y accéder via le menu. Vous avez aussi un ATH, radar qui vous indique différents points sur la carte comme les courses de route, de toits, mais aussi la proximité de vos cibles à  l’approche de celles-ci. Les 3 véhicules de l’Agence se transformeront également selon votre niveau de compétence.
    Vous êtes là  pour faire la loi, mais attention ne faite pas trop de dommages collatéraux car sinon vos compétences s’en verront diminuées.

    Le point fort de ce jeu est que votre personnage peut évoluer en fonction des orbes qu’il « absorbe ». En effet, vos différents axes d’améliorations sont : agilité, pilotage, explosifs, force, armes à  feu. Pour cela il suffit de vous battre au corps à  corps, de participer à  des courses de rues, de toits, de faire exploser ce qui se présente, etc… A chaque niveau passé, votre personnage subit une modification qui lui permet, selon la compétence accrue, d’être « meilleurs ».
    Par exemple les orbes d’agilité vous permettent de courir plus vite et de sauter plus haut et plus loin et ainsi, vous balader de toits en toits (ce qui est vraiment sympa).

  • Cà´té graphisme, c’est assez particulier, un style soigné mélangeant un cell-shading léger (limite pop-art) et une 3D haute en couleur, en gros à§a ressemble à  certains vieux Comics. Personnellement j’accroche bien, mais à§a peut vraiment déplaire. La ville est correctement modélisée, les personnages bougent bien et les petits détails comme les insultes gestuelles ou le sol qui se fissure quand votre perso atterri après un gros saut peaufine le tout.
  • Niveau son, c’est correct. Les explosions et les tirs sont bien rendus, les voix ne sont pas énormément présente puisque seule une personne de l’Agence vous parle (un monologue, puisque vous ne lui répondez même pas). Il y a bien de temps à  autre des insultes de la part des ennemis et des passants qui prennent peur, mais rien de plus.
    J’allai oublier la musique, assez rythmée par moments, elle reste anecdotique et même parfois très particulière.
  • Le gameplay est loin d’être mauvais, le personnage se manipule facilement, la gestion des caméras est plutà´t bonne. Seul point noir : la conduite qui elle est assez délicate à  prendre en main et qui, de plus, est une des compétences les plus longue à  faire évoluer. La gestion des dégà¢ts sur les véhicules est bonne et on en ressent nettement les conséquences.
  • Le mode multijoueurs réside uniquement dans la possibilité d’effectuer les missions avec l’aide d’un ami via le XboX Live. Ca limite le choix mais bon à§a ajoute pas mal de fun à  l’ensemble.
  • En conclusion, je dirai que CrackDown fait partie de ces OVNIS dont on ne sait jamais s’il plaira ou non tant que l’on ne l’a pas essayé.
    Son esthétisme particulier, son scénario quasi inexistant qui le conduit à  se rapprocher d’avantage d’un énorme Beat Them All libre de tout mouvement, sa répétition dans l’action qui peut amener une certaine lassitude, se mettre dans la peau d’un super héros pouvant porter des voitures, sauter d’immeuble en immeuble, faire sa propre loi, etc… bref autant de points qui feront que vous adorerez ou que vous détesterez.
    Perso, j’aime vraiment ce titre

    Note : 7,5/10

    🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

    Mode