Passer au contenu

Boston Dynamics nous montre les avancées d’Atlas, son incroyable robot humanoïde

Boston Dynamics est une entreprise spécialisée dans la robotique de pointe, qui a été rachetée par Google en 2013. Leur dernière création, nommée Atlas, est vraiment…

Boston Dynamics est une entreprise spécialisée dans la robotique de pointe, qui a été rachetée par Google en 2013. Leur dernière création, nommée Atlas, est vraiment impressionnante.

Atlas

Voilà une nouvelle qui ne va pas faire plaisir à de nombreux manutentionnaires. Le développement d’Atlas, un robot bipède humanoïde, avance à grande vitesse ! Dans une récente vidéo, la firme a montré les nouvelles capacités de son robot bipède.

Ce dernier arrive à se déplacer sur terrains glissants et accidentés, éviter des obstacles, ou se relever en cas de chute. Ses proportions se rapprochent des nôtres puisqu’il pèse 82 kilos pour 1 m 80. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo, il peut porter et déplacer des cartons avec précision. Et il ne s’énerve même pas quand on le fait tomber. Son autonomie est néanmoins inconnue.

Il nous fera payer ces moqueries un jour… SKYNET !

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

11 commentaires
    1. Je pense que la problématique n’est pas la même, chez BD ils font en sorte que le robot se débrouille qu’importe l’environnement.

      Pour asimo Honda l’a bien dit, il n’est pas apte à se débrouiller tout seul dans un environnement inconnu genre fukushima, pour ça qu’ils ont repris le boulot pour le faire plus indépendant.

      M’étonnerait pas qu’à un moment l’IA des robot leur permette de trouver par eux même les meilleurs mouvements à faire pour plus de fluidité et efficacité.

      Un exemple dans la vidéo, le robot se cale correctement au niveau du corps pour ramasser le carton, un humain utiliserait seulement ses bras pour tourner le carton et le prendre directement.

      En tout cas, c’est un très grosse avancé je trouve par rapport à ce qu’on a pu voir par le passé.

      1. Tu as raison, je pense aussi que les deux robots sont voués à une utilisation différente. C’est vrai que Asimo en déplacement sur la neige ça ne doit pas être génial, j’ai bien peur qu’il ne puisse avancer bien loin. Le rêve serait d’avoir les compétences d’Atlas avec la compacité et la fluidité de Asimo.
        Vu les progrès rapides dans ce domaine, j’imagine que dans une petite quinzaine d’années, ça sera possible, et l’on pourra acheter dans le commerce ce petit bijou qui nous rendra bien des services. Autant « Pepper» je le trouve beaucoup trop limité pour l’acquérir, autant un robot comme Atlas ( dans 15 ans), même s’il était vendu au prix de 10k$ (voire plus) j’achète directe.
        Je pense qu’à cette époque, on aura des batteries bien plus performantes, qui sont actuellement le talon d’achille de ce genre de robot.

  1. Pourquoi n’envoi t’on pas ce genre de robot sur mars ou autre au lieu de vieux robots pourri qui tombe a la 1ere pierre en dessous sa roue ??

    1. Je pense qu’il y a énormément de facteurs ; dont le poids (le corps d’Atlas est entièrement dédié à sa locomotion alors que sur un rover, cela prend assez peu de place).
      Le principal argument est cependant sans doute la complexité. Un robot comme Atlas est très impressionnant, mais son degré de complexité implique une grande sensibilité aux défaillances. Et plus il y a de sources de défaillances, plus il faut de systèmes de sécurité, donc davantage de complexité, etc. Sans compter qu’aucune maintenance n’est envisageable une fois parti.
      Au final, un robot trop sophistiqué plombe le coût d’une mission avec un bénéfice qui n’est pas forcément évident par rapport à un rover plus simple. Un échec devient en plus terriblement pénalisant.

    2. Je rajouterais que les rovers restent beaucoup plus stables et surtout efficaces d’un point de vue énergétique qu’un robot bipède, qui doit rester actif en permanence pour tenir sur ses pates en s’adaptant aux conditions. Et puis sur ce type de mission, le but est d’être plus efficace qu’un humain, pas de reproduire nos limitations. Oublions pas que Spirit a duré 6 ans de plus que sa mission orignale, Opportunity est encore actif 12 ans après son arrivée, et Curiosity (qui fait la taille et le poids d’une voiture) est parti pour faire de même.

  2. C’est vrai qu’il a bon caractère parce que même quand le technicien l’emmerde le robot ne bronche pas. Un employé lui aurait envoyé une châtaigne.
    Et pour les cartons il ne risque pas de se froisser les lombaires, donc pas d’arrêt maladie.

    Pour ce qui est de l’envoyer sur Mars, il faudrait le “tropicaliser” pour supporter les températures extrêmes, ce qui augmenterait son poids et sa complexité. Sans compter qu’il ne ferait rien de plu qu’un rover, mais par compte il pourrait travailler en appui et en aide au rover.

  3. Quand je pense que j’aide Google à acheter des société comme ça. d’ailleurs chacun de nous aide Google en utilisant leur moteur de recherches.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Mode